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Conclusion.

Table des matières

 

 

 

 

Section troisième. Grammaire française.

Chap. I. Des substantifs.

Chap. II. Des modificatifs.

Art. I-II

Art. III

Art. IV-VIII

Section quatrième. Art de raisonner.

Chap. I. Des idées.

Chap. II. Du jugement.

Chap. III. Du raisonnement.

Chap. IV. De la méthode.

Conclusion.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

|427

 

 

CONCLUSION.

 

Hæc studia adolescentiam alunt, senectutem oblectant, secundas res ornant, adversis solatium et perfugium præbent, delectant domi, non impediunt foris, pernoctant nobiscum, peregrinantur, rusticantur. (Tull.)

Le goût des lettres est propre à tous les temps et à tous les âges. La jeunesse y trouve l’aliment de son activité ; la vieillesse, l’oubli des biens qu’elle a perdus et le soulagement des maux qui l’assiégent. (Répon. du direc. de l’acad. à M. Thomas.)

 

 

 

1337. Tels sont les divers moyens que nous pouvons mettre en usage pour bien raisonner, pour nous assurer de la solidité des connaissances acquises, et pour nous donner la facilité d’en étendre progressivement la sphère.

Si nous avons des notions précises et bien nettes des facultés de notre âme ; si nous connaissons bien la génération de toutes les opérations de l’entendement et leurs rapports réciproques, et si nous contractons de bonne heure l’habitude de les bien conduire, il nous sera toujours facile de nous garantir des préjugés, de détruire les liaisons d’idées désavouées par la raison, de reconnaître les prestiges et les illusions de l’erreur, et de |428 résister courageusement et avec succès à l’empire tyrannique et funeste des passions. Alors nous jouirons pleinement et avec calme de toutes les prérogatives de notre nature ; et, fiers de la dignité de notre être, nous assurerons notre indépendance personnelle et nous ne chercherons à établir notre bonheur que sur les seules bases qu’il puisse avoir, la raison et la vertu.

1338. Surtout défions-nous de nous-mêmes. Les vérités les mieux prouvées sont souvent contraires à ce que nous croyons bien voir : si nous nous laissons aller à notre paresse naturelle, nous trouverons plus commode de nous décider légèrement d’après un préjugé, que de prendre la peine de le détruire, ou de prononcer sur un simple aperçu, au risque de nous tromper, que d’approfondir suffisamment pour nous élever jusqu’à la certitude ; et, si nous ne savons pas douter et nous abstenir prudemment de prononcer sur ce que nous ne connaissons pas, nous prendrons des opinions pour des choses démontrées, et des erreurs pour des vérités. Examinons donc toujours avec soin : ne considérons des conjectures que comme des conjectures ; n’érigeons pas des probabilités |429 en certitudes ; sachons retenir notre assentiment et rester dans le doute partout où l’évidence nous manque ; et ayons la noble candeur de convenir de notre ignorance sur toutes les choses que nous ne connaissons pas suffisamment. L’ignorance est toujours préférable à l’erreur, et surtout à l’orgueil.

1339. Nous avons tâché d’appliquer ces principes de l’art de raisonner à l’analyse des langues : nous croyons cette application aussi utile, qu’elle est intéressante et digne de piquer notre curiosité. L’art de raisonner s’apprend encore mieux en raisonnant que de toute autre manière ; et un petit nombre de principes suffit, pourvu qu’ils soient sûrs, clairs, féconds en conséquences, et qu’on s’accoutume à les suivre et à les appliquer partout. Si notre analyse de la parole eût été aussi bien faite qu’elle était suceptible [sic] de l’être, on pourrait la considérer comme une partie essentielle de l’art de penser.

        J’ai du moins ouvert le chemin ;
D’autres pourront y mettre une dernière main. (La Fontaine, liv. 11, épil.)

 

 

FIN.

 

 

[|430]

|431

 

 

 

 

 

 



Pag.

 

TABLE DES MATIÈRES

CONTENUES

DANS LA GRAMMAIRE GÉNÉRALE.

 
 

1

 

GRAMMAIRE GÉNÉRALE.

Définition, n.o 1. — Objet de la parole, 2. — Analyse de la parole fondée sur celle de la pensée, 3. — La parole seul moyen de communication, 4. — Principes fondamen­taux des langues, 5. — Origine de la diversité des langues, 6. — Causes naturelles, 7. — Causes accidentelles, 8. — Aucun mot n’est le signe nécessaire d’une idée ; il le devient par convention, 9. — Influence des besoins sur les langues, 10. — Perfec­tionnement successif des langues, 11. — Principes communs à toutes les langues, 12. — Principes hypothé­tiques, 13.

9

 

SECTION PREMIÈRE. — ANALYSE DE LA PENSÉE.

Pensée ; ce que c’est, 15.

|432 11

 

CHAPITRE PREMIER. — DES SENSATIONS.

En quoi consistent les sensations, 16. — considérées dans les organes, 17.

12

 

DES SENS.

Objet et variété des sens, 18. — La vue, 19. — L’ouïe, 20. — L’odorat, 21. — Le goût, 22. — Le tact, 23, 24.

16

 

DES SENSATIONS CONSIDÉRÉES DANS L’AME.

L’âme seule éprouve des sensations, 25. — Le rapport entre l’ébranlement des organes et les sensations n’est pas connu, 26, 27. — Sensations naturellement distribuées en cinq classes, 28. — L’addition d’un sixième sens augmenterait le nombre de nos sensations, 29.

21

 

CHAP. II. — DE L’ENTENDEMENT.

Manière d’étendre et de développer son entendement, 30.

22

 

§. I.er DES PERCEPTIONS.

Perception, première opération de l’entendement, 31. — Toutes nos connaissances viennent des sens, 32. — Leur étendue et leur variété proportionnées à la perfection des organes, 33. — Perceptions oubliées, 34. — Idée de la suc­cession des temps fondée sur la succession des perceptions, 35. — Sou- |433 venir des perceptions vives, 36. — Ce souvenir nous prouve l’identité de notre individu, 37. — Rémi­niscence, 38. — Origine de la mémoire et de l’imagination, 39. — Récapitulation, 40, 41. — Nécessité de reconnaître les nuances qui distinguent les opérations de l’entendement, 42.

34

 

§. II. DE L’ATTENTION.

L’attention ; ce que c’est, 43. — De la part du corps et de la part de l’âme, 44. — Attention donnée aux objets absens, 45 ; — susceptible d’être perfectionnée, 46. — Moyens de la diriger et de la soutenir, 47 ; — causes des distractions.

40

 

§. III. DE LA MÉMOIRE.

La mémoire ; ce que c’est, 48 ; — est fondée sur la liaison des idées, 49. — Effets et origine de cette liaison, 50. — Elle est un moyen de fixer nos connaissances, 51. — La mémoire est susceptible de perfection, 52. — Avantages de la mémoire, 53.

48

 

§. IV. DE L’IMAGINATION.

En quoi consiste l’imagination, 54 ; — va plus loin que la mémoire, 55 ; — est |434 un effet de l’attention et une suite de la liaison des idées, 56. — Différence entre la mémoire et l’imagination, 57. — La contemplation, 58. — L’imagination considérée sous un autre point de vue, 59 ; — doit être réglée et dirigée par le goût, 60 ; — l’enthousiasme ; — pourquoi l’imagination est moins permise dans l’éloquence que dans la poésie ; — différentes espèces d’imagination ; — démence. — Avantages, écarts de l’imagination, 61 ; — son influence sur notre bonheur.

60

 

§. V. DE LA COMPARAISON.

La comparaison n’est que l’attention donnée à deux choses à la fois, 63, 64.

62

 

§. VI. DU JUGEMENT.

Ce que c’est que le jugement, 65, 66.

63

 

§. VII. DU RAISONNEMENT.

En quoi consiste le raisonnement, 67.

64

 

§. VIII. DE LA RÉFLEXION.

La réflexion ; ce que c’est, 70. — Son utilité, 71. — Elle naît de la mémoire et de l’imagination, 72. — Concours de la mémoire, de l’imagination et de la réflexion dans la formation des |435 langues, 73. — Influence des signes sur la mémoire, l’imagination et la réflexion, 74. — Les signes naturels, 75. — Les signes accidentels, 76. — Les signes d’institution, 77. — Nécessité de ces derniers, 78. — Moyens de faciliter l’exercice de la réflexion, 80.

76

 

§. IX. DES OPÉRATIONS DE L’ENTENDEMENT QUI NAISSENT DE LA RÉFLEXION.

L’abstraction, 82. — Abstraction physique, 83. — Abstraction métaphysique, 86. — Substantifs abstraits, 87. — Différence des deux sortes d’abstractions et de leurs effets, 88-93. — L’abstraction physique donne des idées distinctes, 94 ; — influe sur la richesse des langues, 95. — L’abstraction métaphysique généralise les idées, 97 ; — nous dirige pour former les idées d’espèces, de genres, etc., 98 ; — supplée à la faiblesse de notre entendement, 99. — Composition et décomposition des idées, 101.

90

 

§. X. DES IDÉES.

Idée ; ce que c’est, 104. — Nos sensations nous font connaître les corps, 105. — Qualités, 106 ; — manière d’être ; |436 — modifications. — Propriétés, 107. — Idée de la substance, 108, 109.

92

 

§. XI. DES DIFFÉRENTES ESPÈCES D’IDÈES ET DE LEUR CLASSIFICATION.

Nécessité d’analyser et de classer les idées, 110. — Idées abstraites, 111. — Idées sim­ples, 112 ; — ne peuvent s’acquérir que par les sensations, ou par la réflexion, 113. — Certaines idées n’entrent que par un seul sens, 114 ; — d’autres, par divers sens, 116 ; — par la réflexion, 117. — Idées complexes, 118. — Nécessité de classer ses idées, 120. — Idées individuelles, 121 ; — classe, genre. — Classes inférieures, 122. — Classes générales et subalternes, 125. — Genres, espèces, 126. — Clas­si­fi­cation des qualités, 127. — Utilité de la classification, 128. — Bornes que doit avoir la soudivision des classes, 129. — Idées individuelles, particulières, générales, 130. — Nature de ces idées, 131.

106

 

§. XII. DE LA RAISON.

En quoi consiste la raison, 132-137. — La raison, l’instinct, la folie, 138.

113

 

§. XIII. DE L’ESPRIT ET DE SES DIFFÉRENTES ESPÈCES.

|437 Diverses acceptions du mot esprit, 141. — Le bon sens et l’intelligence, 142. — L’esprit, 144. — Pénétration, profondeur, 146. — Discernement, jugement, 147. — Sagacité, 148. — Goût, 149. — Invention, ou esprit inventif, 150. — Talent, 151. — Génie, 152. — Cause des différentes espèces d’esprit, 153. — Influence des passions sur l’esprit, 155.

122

 

DE L’ENTENDEMENT.

Etymologie et signification du mot entendement, 157. — Faculté, 158.

125

 

CHAP. III. — DE LA VOLONTÉ.

126

 

§. I.er LE BESOIN.

En quoi consiste le besoin, 161 ; — il a donné lieu à la formation de la société, 162. — Il faut restreindre ses besoins, 163.

129

 

§. II. DU DÉSIR.

Ce que c’est que le désir, 164. — Le désir est un état d’inquiétude, 166. — Désirs naturels, 167. — Désirs factices, 168. — Nécessité de borner ses désirs, 169.

135

 

§. III. DES PASSIONS.

Ce qui constitue les passions, 170. |438 — Origine des passions, 171. — Fantaisie, 172 ; — ancienne acception de ce mot. — Acception actuelle, 173. — Le caprice et la bizarrerie, 175-177. — Le plaisir et la peine, source commune des passions, 178. — Plaisirs des sens, 180. — Plaisirs de l’entendement, 181. — L’ordre, la variété et la proportion plaisent, 182. — Plaisirs de la conscience, base de la morale, 183-186. — La gloire, 187 ; — la honte et la confusion ; — émulation, ambition ; — avarice. — Utilité des passions pour nous-mêmes, 188 ; — relativement à la société, 189. — Dangers des passions, 191 ; — de celles qui ont pour objet les plaisirs des sens, 192 ; — de celles qui naissent des plaisirs de l’esprit, 193 ; — de celles qui roulent sur les plaisirs du cœur, 194. — Douceur réelle attachée à la plupart des passions, 195. — Cause de cette douceur, 196.

159

 

§. IV. DE L’ÉSPERANCE.

Ce que c’est que l’espérance, 198. — Cause du plaisir attaché à l’espérance, 199. — Danger d’étendre ses espérances trop loin, 200. — Préservatif contre ce danger, 201.

|439 162

 

§. V. DE LA VOLONTÉ PROPREMENT DITE .

Ce que c’est que la volonté proprement dite, 202. — La volonté est le dernier acte de la délibération, 203. — Acception plus étendue du mot volonté, 204.

164

 

CONCLUSION. — DE LA PENSÉE ET DE LA FACULTÉ DE PENSER.

Ce qu’on entend par la faculté de penser, 205 ; — comprend toutes les opérations de l’âme, 206. — Pensée, 207.

     
 

167

 

SECTION SECONDE.

La Grammaire est la première partie de l’art de penser, 208. — Les langues sont des méthodes analytiques, 209, 210.

168

 

DU LANGAGE D’ACTION.

En quoi consiste le langage d’action, 211. — Attitudes du corps, 212. — Mouvemens du visage et des yeux, 213. — Cris, ou sons inarticulés, 214. — Le langage d’action est une suite de la conformation des organes, 215. — La nature a donné les premiers signes de ce |440 langage. Signes institués, 216. — Pantomimes chez les Romains, 217. — Le langage d’action est plus rapide que les langues articulées, 218. — Le langage d’action est aussi une méthode analytique, 219. — Le langage d’action em­ployé à l’instruction des sourds-muets, 220. — Les langues articulées sont fondées sur les mêmes principes que le langage d’action, 221. — La Grammaire a pour objet l’analyse de la proposition, 222. — Proposition, 223. — Division de la Grammaire générale, 224.

 

 

 
 

 

176

 

PREMIÈRE PARTIE DE LA GRAMMAIRE GÉNÉRALE PROPREMENT DITE.

  GRAMMAIRE ÉLÉMENTAIRE.

Objet de la Grammaire élémentaire, 226.

177

 

CHAPITRE PREMIER. DU MATÉRIEL DES MOTS.

Matériel des mots, 227.

id.

 

ARTICLE PREMIER. DES ÉLÉMENS DES MOTS.

Voix humaine, 228. — Les sons, 229. — Les articulations, 230. — Syllabes, 232.

|441 182

 

ART. II. DE LA PROSODIE DES MOTS.

La prosodie, 233 ; — pourquoi les mêmes sons et les mêmes syllabes se prononcent diversement dans différens mots. — Objet de la prosodie ; en quoi elle consiste, 234. — L’accent, 235 ; — accent national. — De quoi se compose l’accent, 236 ; — accent aigu, grave, circonflexe ; — accent grammatical. — Accent oratoire, 237. — La quantité, 238 ; — brèves et longues.

187

 

CHAP. II. DE LA VALEUR DES MOTS.

Nomenclature, 239. — Divers sens des mots, 240. — Acceptions, 241. — Sens propre, 242. — Sens figuré, 243.

190

 

DES TROPES.

Tropes ; ce que c’est, 244. — Figures, 245. — Effet des figures, 246. — Espèces de figures, 247. — Figures de mots, 248. — Utilité de l’étude des tropes, 249. — Usage et effet des tropes, 250. — Les tropes servent à augmenter l’énergie des expressions, 251 ; — à rendre l’expression de la pensée plus noble, 252 ; — à enrichir les langues et à varier le style, 253 ; — origine des figures.

|442 200

 

RÉGLES GÉNÉRALES SUR LES TROPES.

Les tropes doivent faire image, 254. — L’image doit être soutenue et composée de parties qui soient d’accord entr’elles, 255. — Il faut préparer les images hardies, 256. — Il faut éviter les rapports vagues et les couleurs qui ne conviennent pas au sujet, 257. — Les tropes doivent être clairs, faciles, naturels, 258.

210

 

DES PRINCIPAUX TROPES.

Division des tropes et leur origine, 259.

211

 

I. LA CATACHRÈSE.

Catachrèse ; ce que c’est, 260.

213

 

II. LA MÉTONYMIE.

Etymologie et définition, 261. — La cause pour l’effet, 262. — L’auteur pour l’ouvrage, 263. — L’effet pour la cause, 264. — Le contenant pour le contenu, 265. — Le nom du lieu où une chose se fait pour la chose elle-même, 266. — Le signe ou le symbole pour la chose signifiée, 267. — L’antécédent pour le conséquent ; et réciproquement, 268 ; — la métalepse.

220

 

III. LA SYNECDOQUE.

Définition, étymologie, 269. — Le genre |443 pour l’espèce, 270. — Le tout pour la partie, 271. — La partie pour le tout, 272. — Un nombre pour un autre, 273. — La matière au lieu de la chose qui en est faite, 274. — Ressemblance entre la synecdoque et la métonymie, 275. — Différence entr’elles, 276.

224

 

IV. L’ANATOMASE.

Définition, 277. — Un nom commun pour un nom propre, 278. — Un nom propre pour un nom commun, 279.

227

 

V. L’HYPERBOLE.

Etymologie et définition, 280. — Abus de l’hyperbole, 281. — L’hyperbole est plus permise dans le style plaisant, 283. — Cas où l’hyperbole peut être employée, 284.

232

 

VI. LA LILOTE [sic].

Définition, 285.

233

 

VII. LA MÉTAPHORE.

Etymologie et définition, 286. — Différence entre la métaphore et la comparaison, 287. — Règle générale, 288. — Le besoin conduit souvent à employer des métaphores, 289. — Métaphores défectueuses, 291.

|444 242

 

VIII. LA SYLLEPSE.

Définition, 292.

243

 

IX. L’ALLÉGORIE.

Définition, 294. — Les proverbes sont des allégories, 295. — Paraboles, apologues, 296. — Les énigmes, 297.

246

 

X. L’ALLUSION.

Définition, 298.

249

 

XI. L’IRONIE.

Définition, 300.

251

 

XII. L’EUPHÉMISME.

Etymologie et définition, 301. — L’antiphrase, 302.

253

 

XIII. LA PÉRIPHRASE.

Etymologie et définition, 303. — Emploi des périphrases, 304 ; — 1.o par nécessité, 305 ; — 2.o par bienséance, 306 ; — 3.o pour une plus grande clarté, 307 ; — 4.o pour l’ornement du discours, 308.

261

 

XIV. L’ONOMATOPÉE.

Définition, 310. — Harmonie imitative, 311. — L’onomatopée n’est pas un trope, 312.

264

 

DES SYNONYMES.

Définition, 313. — Il n’y a point de |445 synonymes parfaits, 314. — En quels sens certains mots sont synonymes, 315. — Il est nécessaire d’étudier les synonymes, 316. — Egoïste, homme personnel, 317. — Rêve, songe, 318. — Décence, bienséance, convenance, 319. — Infamie, ignominie, opprobre, 320.

276

 

DES HOMONYMES.

Définition des homonymes, 323. — Homonymes univoques, 324 ; — homonymes équivoques. — Paronomase, 327.

281

 

CHAP. III. — DE L’ÉTYMOLOGIE.

Sens primitif du mot étymologie, 328. — Signification actuelle de ce mot, 329. — Autre sens du même mot, 330. — Utilité de l’étymologie, 331. — L’étymologie est utile pour connaître le système général d’une langue, 332 ; — sert à remonter aux principes de la Grammaire générale, 333. — Manière de remonter à l’étymologie des mots, 334 ; — dérivés ; — composés, 335. — Mots dérivés des langues an­ciennes, 336. — Mots pris des langues modernes, 337. — Fausses étymologies, 338.

|446 289

 

DES RACINES ET DES DÉRIVÉS.

Racines ou mots radicaux, 340. — Racines génératrices, ou mots primitifs, 341. — Dérivation ; ce que c’est, 344.

293

 

DES AUGMENTATIFS ET DES DIMINUTIFS.

Ce qu’on entend par augmentatifs, 346 ; — par diminutifs, 347. — Diminutifs de sen­timent, 348. — Augmentatifs physiques et de sentiment, 349. — La langue française ne s’accommode guère des augmentatifs ni des diminutifs, 350. — Modifications ajoutées à l’idée primitive, 351. — Modifications relatives aux temps, aux nombres et aux personnes, 352. — Deux sortes de dérivation, 353. — Dérivation philoso­phique, 354. — Dérivation grammaticale, 355.

298

 

DES SIMPLES ET DES COMPOSÉS.

Définition du mot simple, 356. — Composition ; ce que c’est, 357. — Elémens des mots composés, 358. — Particules prépositives ou préfixes, 359 : — A ou ad, 360 ; — Ab ou abs ; — Anti ou ante, 361 ; — Cum, 362 ; — Contre, 363 ; — Dé, dés, 364 ; — Di, dis, 365 ; — E et ex, 366 ; — En, 367 ; — Entre, 368 ; — In ou en, 369 ; — Més, me, |447 370 ; — Par, per, 371 ; — Pré, 372 ; — Re, ré, 373. — Re­marque, 374. — Sub, sur, sous, 375 ; — Trans, 376. — Utilité de ces observations, 377.

307

 

DE LA CONTRACTION.

Définition, 378. — Autre effet de la contraction, 379.

310

 

DE L’EUPHONIE.

Etymologie et définition, 380. — Lettres euphoniques, 381. — Communes à toutes les langues, 382. — Accent euphonique, 383.

312

 

DE LA FORMATION.

Définition, 384. — Première espèce de formation, 385. — Deuxième espèce de forma­tion, 386.

314

 

CHAP. IV. — DE L’ESPÈCE GRAMMATICALE DES MOTS.

Mots indispensables pour énoncer un jugement, 387 : — le substantif, le verbe, l’adjec­tif, 388 ; — l’article, 389 ; — les pronoms, 390 ; — Participes, 391. — Prépositions, 392. — Adverbes, 393. — Conjonctions, 394. — Interjections, 395. — En tout dix |448 espèces de mots nécessaires pour l’expression de nos pensées, 396. — Classifi­cation des grammairiens grecs, 397 ; — des latins. — Utilité des observations géné­rales sur l’emploi des mots, 398. — Nécessité des dix espèces de mots pour l’ex­pression complette de nos pensées, 400. — Mots divisés en deux grandes classes ; mots variables ou déclinables ; mots invariables ou indéclinables, 401. — Mots sig­nificatifs absolument, 403 ; — mots significatifs relativement. — Mots divisés en substantifs et en modificatifs, 405.

327

 

ARTICLE PREMIER. DES SUBSTANTIFS.

Ce que c’est que substance, 407. — Substantifs, 408. — Substantifs physiques, 409 ; — noms propres ou individuels ; — noms appellatifs ou communs. — Substantifs arti­ficiels, 410. — Substantifs abstraits, 411. — Les substantifs sont des noms de genres et d’espèces, 412. — Manière dont se forment les idées de classes, d’ordres et espèces, 414. — Le nom d’une classe est commun à toutes les espèces inférieures, 415 ; — le nom d’un individu n’est propre qu’à lui seul. — Pourquoi la plupart |449 des substantifs sont des noms communs et non pas des noms propres, 416. — Les mots sont les signes des idées générales, 417. — Conséquences qui en résultent, 418. — Comment, avec des noms communs, on exprime des idées particuliers, ou des individus, 419. — Les pronoms personnels sont des substantifs, 420. — Ce ne sont pas de vrais pronoms ; ils expriment une relation personnelle à l’acte de la pa­role, 421 ; — substantifs personnels. — Ils peuvent seuls exprimer la relation per­sonnelle à l’acte de la parole, 422. — Nombre des substantifs personnels, 424. — Motif de leur ancienne dénomination, 425. — Genres des substantifs personnels, 426. — Cas des substantifs personnels, 427. — Autres substantifs, 428 : — 1.o On ; — 2.o Autrui ; — 3.o Ce ; — 4.o Ceci, cela ; — 5.o Personne ; — 6.o Quiconque ; — 7.o Quoi ; — 8.o Rien ; — 9.o Qui, lequel. — Substantifs elliptiques, 429. — Six espèces de substantifs, 430.

349

 

DES NOMBRES ET DES GENRES.

Nombres, 431 : — Singulier, pluriel, 432 ; |450 duel. — Les noms propres n’ont point de pluriel, 434 ; — première exception ; — deuxième exception. — Genres, 435 : — masculin, féminin ; — neutre. — Origine probable des genres pour les substantifs, 436. — L’usage seul peut faire connaître le genre des substantifs, 437.

355

 

ART. II. — DES MODIFICATIFS.

Division des modificatifs, 439. — Modificatifs particuliers ; — Modificatif commun, 440 ; — Modificatifs combinés, 441 ; — Modificatifs de proposition, 442 ; — Mo­dificatifs d’attribut, 443. — Interjections, 444.

358

 

§. I.er DES MODIFICATIFS PARTICULIERS.

id.

 

DE L’ADJECTIF.

Etymologie du mot adjectif, 446. — Point d’adjectif sans substantif, exprimé ou sous-entendu, 447. — Adjectifs physiques, 448 ; — Adjectifs métaphysiques, 449. — Noms de nombre, 451 : — Noms de nombre cardinaux, 452 ; — Noms de nombre ordinaux, 453. — Adjectifs multiplicatifs, 454. — Substantifs numéraux, 455.

|451 362

 

DES PRONOMS, QUI SONT DE VRAIS MODIFICATIFS.

Tout mot qui sert à faire considérer un substantif sous un point du [sic] vue quelconque,  est un modificatif, 456. — Aucun, aucune, 457 ; — Autre, 458 ; — Ce, cet, cette, 459 ; — Certain, certaine, 460 ; — Chaque, 462. — Les mots précédens ne sont pas des pronoms, 463. — Même, 464 ; — Nul, nulle, 465 ; — Quel, quelle, 467 ; — Quelconque, 468 ; — Tel, telle, 469.

368

 

DES ARTICLES.

Quels sont les articles de la langue française, 470. — Utilité des articles, 472. — Dé­veloppement, 473, 474. — Les articles marquent le mouvement de l’esprit qui se di­rige plus particulièrement vers un objet, 475. — L’article n’est pas déterminatif par lui-même, 476. — L’article substantifie les verbes et les adjectifs qu’il précède, 477. — Les articles sont des modificatifs, 478. — Résumé, 479, 480. — Les noms propres sont sans article, 481 : — première exception ; — deuxième exception, 482. — Le nom de Dieu, généralement sans article, est quelquefois précédé par l’article ; et |452 pourquoi, 483. — Troisième exception, 484. — Articles des autres langues, 485. — Si les langues qui ont des articles ont un avantage sur celles qui n’en ont pas, 486. — Il est quelquefois possible de supprimer les articles, 487.

384

 

DES PARTICIPES.

Deux participes, 488. — Le verbe est le mot le plus essentiel, 489. — Verbe substantif, ou abstrait, 490 ; — Verbes adjectifs, ou concrets, 491. — Les verbes peuvent être décomposés par les formes du verbe être jointes à un attribut, 492. — On aurait pu n’employer que le seul verbe être, 493. — Simplicité des verbes ou des modificatifs combinés, 494. — Idée principale ou fondamentale exprimée par chaque verbe, 495. — Dans l’infinitif, on considère, par abstraction, cette idée fondamentale comme un être déterminé, 496. — L’indicatif ajoute à l’idée principale l’idée accessoire d’af­firmation, 497. — Le conditionnel ajoute à l’idée principale l’idée accessoire d’une condition ou supposition, 498. — L’impératif joint à l’idée principale l’idée accessoire du commandement ou de la prière, 499. — Le subjonctif joint à l’idée principale une |453 autre idée exprimée par un verbe précédent, 500. — Sept modes, 501. — Matériel de ces cinq modes, 502. — Formes de l’indicatif, 503 ; — Formes du conditionnel, 504 ; — Formes de l’impératif, 505 ; — Formes du subjonctif, ou optatif, 506 ; — Mode attributif, mode interrogatif. — Inflexions relatives aux nombres et aux personnes dans chaque forme, 507. — Multiplicité des idées exprimées par les différentes formes d’un verbe, 508. — Rapport entre les idées exprimées par les différentes formes d’un verbe et le matériel des mots qui les expriment, 509. — Verbes de la langue hébraïque, 510 ;— Verbes du chinois et de la langue franque, 511. — La formation des verbes est un des plus sublimes efforts du génie de l’homme, 512. — Actif, passif, neutre ou d’état, 513. — Augmentatifs, diminutifs, fréquentatifs, 515. — Le participe actif, seul propre à la décomposition des formes simples des verbes, 517. — Le participe passé ou passif entre seul dans la composition des formes composées, 518 ; — il entre seul dans la formation de nos verbes passifs, 519. — Nature des participes, 520. — Le participe constitue le mode attributif des verbes, 521. |454 — Deux formes de mode attributif, 522 : — Attributif présent ou actif ; — Attributif passé ou passif, 523. — Participes des langues anciennes, 524. — L’attributif présent ne se combine jamais avec les formes du verbe avoir, mais avec celles du verbe être, 525. — L’attributif passé se joint avec le verbe être et avec le verbe avoir, 526. — Raison de sa combinaison avec le verbe avoir, 527 ; — pourquoi il est alors invariable, 528 ; — il est substantif dans les formes composées ; — autre preuve, 529. — Verbes formés d’un substantif, 530. — Combinaison du participe passé avec les formes du verbe être, 531. — L’attributif passé combiné avec les formes du verbe être, est un adjectif, 532. — Confirmation, 533. — Pourquoi le participe passé est indéclinable dans les verbes réfléchis suivis d’un complément direct, 534. — Le participe passé, combiné avec les formes du verbe avoir, s’accorde avec le complément direct, lorsque celui-ci précède, 535. — Exceptions, 536.

417

 

DE L’ACCORD OU CONCORDANCE ENTRE LES MODIFICATIFS PARTICULIERS ET LES SUBSTANTIFS.

Substantifs de différentes espèces, 537. — Les |455 qualités considérées en elles-mêmes sont des substantifs, 538. — Les qualités considérées dans les sujets sont des modificatifs, 539. — Différentes espèces de modificatifs, 540. — Concordance, 541. — Pourquoi les modificatifs sont déclinables, 542-545.

421

 

§. II et III. DU MODIFICATIF COMMUN ET DES MODIFICATIFS COMBINÉS, ou DES VERBES.

422

 

§. IV. DES MODIFICATIFS DE PROPOSITIONS, ou DES CONJONCTIONS.

Utilité des conjonctions, 547 ; — elles lient les propositions et non pas les mots, 548 ; — Rapports qu’elles expriment entre les propositions, 549 ; — elles ne lient pas tou­jours les pensées, 550 ; — elles sont un passage d’une partie du discours à l’autre, 551. — Différentes espèces de conjonctions, 552. — Les expressions composées ne sont pas des conjonctions, 553. — Comment les conjonctions réunissent deux phrases en une seule, 554. — Les conjonctions sont des modificatifs de proposition, 555. — Etymologie de la conjonction mais, 556. — Que, 557. — Les conjonctions sont des phrases elliptiques, 558.

|456 430

 

§. V. DES MODIFICATIFS D’ATTRIBUT, ou DES PRÉPOSITIONS ET DES ADVERBES — I. DES PRÉPOSITIONS.

Les prépositions sont destinées à indiquer des rapports, 559. — Certaines idées se lient naturellement ; d’autres ne peuvent s’unir que par des moyens particuliers, 560. — Union naturelle entre l’agent et l’action ou la situation, 561 ; — entre les adverbes et les verbes, les participes ou les adjectifs, 562. — Conséquence, 563. — Origine et utilité des prépositions, 564 ; — dans l’origine, elles indiquaient les rapports entre les objets sensibles, 565 ; — sont employées aussi à indiquer les rapports entre les idées abstraites, 566. — Manière d’expliquer les différens rapports indiqués par chaque préposition, 568. — Par : — comment l’analogie a étendu l’usage de cette préposition, 569. — Dans et en : — Rapports primitifs étendus par l’analogie, 570 ; — différence des rapports indiqués par ces deux prépositions. — à : rapports différens indiqués par la préposition à, 571. — De : — Rapport primitif ; rapports ajoutés par analogie, 572 ; — d’appartenance ; — de dépendance ; — de qualité ; — des parties au tout, 573. |457à et de ne sont jamais unis qu’il n’y ait ellipse, 574 ; — De, à et par indiquent des rapports correspondans à ceux du génitif, du da­tif et de l’ablatif, 575. — Prépositions qui indiquent des rapports opposés, 576. — Origine des cas, 577. — Nombre des cas de diverses langues, 578. — Langues qui n’ont point de cas, 579. — Les prépositions sont nécessaires même dans la plupart des langues qui ont des cas, 580. — Possibilité d’une langue sans prépositions, 581. — Les prépositions ne désignent que des rapports vagues et indéterminés, 582. — Toute préposition doit avoir un complément, 583. — La préposition, suivie de son complément, se lie à un terme antécédent, 584. — Les rapports grammaticaux com­parés aux rapports mathématiques, 585. — Certaines prépositions se bornent à indi­quer le second terme du rapport, 586 ; — d’autres modifient le premier terme, tout en indiquant le second, 587 ; — celles qui ne font qu’indiquer le second terme du rapport, peuvent être employées dans des cas différens, 588 ; — Les autres ne peuvent servir que par des rapports analogues, 589. — Il n’y a point de prépositions |458 composées, 590. — Lorsque plusieurs prépositions se suivent immédiatement, il y a ellipse, 591. — Les prépositions sont des modificatifs d’attribut, 592 ; — entrent dans la composition de certains mots, 593.

450

 

II. DES ADVERBES.

L’adverbe est l’équivalent d’une préposition suivie de son complément, 594. — La phrase adverbiale et l’adverbe ne sont pas parfaitement synonymes, 595. — Tout mot qui peut être traduit par une préposition et son complément, est un adverbe, 596. — Les adverbes se lient à un terme antécédent, 597 ; — les adverbes sont des modificatifs d’attribut, 598. — Espèces d’adverbes, 599. — Certains adverbes ont quelquefois un complément, 600. — Remarques sur les adverbes et les prépositions, 601. — Résumé, 602.

456

 

DE LA PAROLE ÉCRITE, ou DE L’ORTHOGRAPHE.

Origine de l’écriture, 603. — Premiers efforts, 604 ; — Hiéroglyphes. — Invention de l’écriture, due aux Phéniciens, 605.

458

 

DE L’ORTHOGRAPHE DES MOTS ISOLÉS.

459

 

DES CARACTÈRES ÉLÉMENTAIRES OU ALPHABÉTIQUES.

|459 Caractères élémentaires ou alphabétiques, 608 : — voyelles ; — consonnes ; — lettres ; alphabet ; — abécédaire ; — syllabes, diphtongues, 609. — Règle d’ortho­graphe, 610.

461

 

DES CARACTÈRES PROSODIQUES.

Leur objet, 611. — La cédille, 613 ; — l’apostrophe, 614 ; — le tiret ou trait d’union, 615 ; — la diérèze, 616 ; — les accens, 617. — Caractères relatifs à la quantité, 618.

 

 

 
 

468

 

DEUXIÈME PARTIE DE LA GRAMMAIRE GÉNÉRALE.

  DE LA SYNTAXE.

Objet de la syntaxe, 619 ; — étymologie de ce mot, 620. — Nos connaissances se communiquent par des propositions, 621. — La syntaxe doit se borner à l’examen de la proposition, 622. — L’expression des besoins, des désirs, se réduit aussi à la proposition, 623.

471

 

DE LA PROPOSITION.

Proposition ; ce que c’est, 624. — Différence |460 entre la proposition et la phrase, 625. — Qualités de la phrase, 626.

474

 

CHAPITRE PREMIER. — DE LA PROPOSITION CONSIDÉRÉE QUANT À SA MATIÈRE.

id.

 

ARTICLE PREMIER. — DE LA MATIÈRE DE LA PROPOSITION, CONSIDÉRÉE LOGIQUEMENT.

Parties logiques de la proposition, 629. — Sujet, attribut, 630. — Il ne peut y avoir que deux idées élémentaires dans un jugement, 631.

477

 

ART. II. — DE LA MATIÈRE DE LA PROPOSITION, CONSIDÉRÉE GRAMMATICALEMENT.

Matière grammaticale de la proposition, 632. — Le sujet, 633 ; — l’attribut, 634. — L’attribut exprimé par un seul mot peut se décomposer en deux, 635. — Proposi­tions négatives, 636. — Le sujet, l’attribut, la copule, 637. — Le verbe fait partie de l’attribut, 638.

480

 

DES DIFFÉRENTES FORMES DU SUJET ET DE L’ATTRIBUT.

Sujet simple, 640. — La simplicité du sujet ne dépend que de l’unité de l’idée qui la détermine, 641. — Sujet composé, 642. — Attribut simple, 643 ; — Attribut |461 composé, 644. — Sujet incomplexe, 645. — Différence entre le sujet simple et le sujet incomplexe, 646. — Sujet complexe, 647. — Distinction essentielle entre le sujet grammatical et le sujet logique, 648. — Attribut incomplexe, 649 ; — attribut complexe, 650.

487

 

DES DIFFÉRENTES ESPÈCES DE PROPOSITIONS, QUI NAISSENT DES DIFFÉRENTES FORMES DU SUJET ET DE L’ATTRIBUT.

Proposition simple, 651. — Proposition composée, 652. — Décomposition d’une pro­position composée par le sujet, 653. — Décomposition d’une proposition composée par l’attribut, 654. — Décomposition d’une proposition composée par le sujet et par l’attribut, 655. — Proposition incomplexe, 657. — Proposition complexe, 658. — Manière de trouver l’ordre analytique des parties d’une proposition, 659. — Propo­sition incidente et proposition principale, 660. — Deux sortes de propositions inci­dentes, 661. — Proposition explicative, 662. — Antécédent, 663. — Proposition dé­terminative, 664. — Moyen de reconnaître les propositions incidentes détermina­tives, 665. — La suppression de la proposition |462 déterminative altère le sens de la proposition principale, 666. — Autre moyen de reconnaître les propositions déter­minatives, 667. — La proposition incidente se lie à tout mot dont on veut dévelop­per le sens, ou restreindre l’étendue, 668. — La liaison de la proposition incidente à un mot se fait de différentes manières, 669. — Manière de reconnaître les parties logiques et les parties grammaticales, 670. — Les propositions incidentes ont les mêmes parties essentielles que les propositions principales, 671. — Le mot conjonc­tif souvent placé après une préposition, 672. — Une proposition, quelque composée qu’elle soit, se réduit au sujet et à l’attribut, 673. — La grammaire ne considère que les propositions simples et les composées, les incomplexes et les complexes, les principales et les incidentes, 674 ; — relativement au sens, elles peuvent toutes se réduire à deux classes, 675.

505

 

CHAP. II. — DE LA PROPOSITION CONSIDÉRÉE QUANT À SA FORME.

Ce qu’on entend par la forme de la proposition, 676. — Division de ce chapitre, 677.

|463 506

 

ARTICLE PREMIER. DE LA CONCORDANCE.

Concordance ; ce que c’est, 678. — Accord entre le subjectif et le modificatif, 679. — Il y a deux manières de faire accorder le modificatif avec le subjectif. Opposition, 680. — Attribution, 681. — Concordance du modificatif particulier au substantif, 683 ; — du sujet au verbe, 684 ; — du relatif à l’antécédent, 685.

509

 

DES ACCIDENS DES MOTS.

Deux sortes d’accidens, 686. — Accidens communs, 687 ; — 1.o l’acception ; — 2.o l’espèce ; — 3.o la figure ; — 4.o l’accent. — Accidens propres à quelques mots, 688 ; — substantifs. — Modificatifs particuliers, 689. — Verbes, 690 ; — 1.o la voix ; — 2.o le mode ; — 3.o les temps ; — 4.o les personnes ; — 5.o la conjugaison ; — 6.o l’analogie, ou l’anomalie.

512

 

DE L’APPOSITION.

Etymologie de ce mot, 691 ; — ce que c’est, 692. — Apposition avec un nom propre, 693.

514

 

ART. II. — DU RÉGIME.

Etymologie de ce mot, 694. — Le régime |464 n’a point de place déterminée dans les langues qui ont des cas, 695. — Le régime est déterminé par la place qu’il occupe dans les langues qui n’ont point de cas, 696. — Avantages des langues qui ont des cas sur celles qui n’en ont pas, 697. — But commun de toutes les langues ; elles diffèrent dans les moyens, 698. — Toutes les langues ont besoin de régime ou de complément, 699. — Ce qu’on doit entendre par régime, 700. — Les langues qui n’ont point de cas n’ont point de régime, 701 ; — mais elles ont des complémens, 702. — Il ne faut pas employer les mots régir, régime, gouverner, pour les langues qui n’ont point de cas, 703.

523

 

DES COMPLÉMENS.

Idée générale des complémens, 704. — Les noms propres n’ont pas besoin de complé­ment, 705. — Il en est de même des noms appellatifs, lorsqu’ils désignent le genre ou l’espèce, 706. — S’ils sont pris dans un sens restreint, ils peuvent avoir des com­plémens, 707. — Développement, 708. — Plusieurs modificatifs particuliers ont besoin de complémens, 709. — Les verbes actifs, 710, 711. — Un mot, complément d’un autre mot, peut exiger un complément ; celui-ci |465 être suivi d’un troisième ; et ainsi de suite, 712. — Il est utile de s’accoutumer à reconnaître le complément de chaque mot dans une phrase, 713. — Les complémens sont fondés sur le rapport de détermination, 714.— Différence entre le rapport d’identité et le rapport de déter­mination, 715. — Identité réelle entre le subjectif et le modificatif, 716. — La sup­pression du complément d’un mot laisse ce mot dans un sens vague et indéterminé, 717. — Le rapport d’identité n’exclut pas celui de détermination, 718. — Le rapport de détermination se trouve souvent sans celui d’identité, 719. — Les complémens des noms appellatifs des modificatifs particuliers, et de certains adverbes, sont toujours précédés d’une préposition, 720. — Certains verbes ont un complément sans préposition, 721 ; — complément direct. — D’autres ont deux complémens, 722 ; — complément indirect. — D’autres n’ont qu’un complément indirect, 723.

536

 

DES DIFFÉRENTES FORMES DES COMPLÉMENS.

Complémens incomplexes, 725. — Complémens complexes, 726. — Complément grammatical, 727. — Complément initial, 728. — Complément logique, 729. — |466 Complément total, 730. — Nécessité de distinguer ces diverses espèces de complémens, 731. — Il faut rapprocher le complément du mot complété, 732. — Dans le concours de plusieurs complémens, les plus courts doivent toujours être placés les premiers, 733. — On ne déroge à cette règle que pour éviter l’obscurité ou l’amphibologie, 734. — Il ne faut pas jeter un autre complément entre les parties d’un complément complexe, 735. — Les mêmes règles s’appliquent aux parties in­tégrantes d’un même complément, 736. — Utilité de ces règles et avantages qui dé­coulent de leur observation, 737.

543

 

ART. III. — DE LA CONSTRUCTION.

Etymologie de ce mot, 738. — Différence entre la construction et la syntaxe, 739. — Construction vicieuse, 740 ; — louche ; — grecque, latine, anglaise, etc. ; — pleine ; — elliptique ; — analytique ; — figurée.

545

 

§. I.er DE LA CONSTRUCTION ANALYTIQUE.

La construction analytique est la seule manière nécessaire de manifester sa pensée dans toutes les langues, 742 ; — elle est la plus propre à faire apercevoir les |467 parties de la pensée, 743. — Notre entendement aperçoit à la fois toutes les idées qui cons­tituent une pensée, 744. — Conformité et différence entre toutes les langues, relati­vement à la construction analytique, 745. — Manière de procéder dans la construc­tion analytique, 746.

551

 

§. II. DE LA CONSTRUCTION FIGURÉE.

Procédé de la construction figurée, 747. — Il faut que la construction figurée, quelle qu’elle soit, puisse être ramenée facilement à la construction analytique, 748, 749.

553

 

I. DE LA CONSTRUCTION ELLIPTIQUE, ou DE L’ELLIPSE.

Etymologie et définition de l’ellipse, 750. — Tendance à l’ellipse, naturelle à toutes les langues ; pourquoi, 751 ; — surtout dans les phrases usitées dans la conversation, 752. — L’ellipse ne doit causer ni équivoque, ni obscurité dans le discours, 753 ; — elle est moins fréquente dans les langues qui n’ont point de cas, 754 ; — elle est assez usitée dans notre langue, 755. — Les réponses aux interrogations sont commu­nément elliptiques, 756. — Les tournures elliptiques |468 sont fréquentes, surtout dans les langues qui ont des cas, 757. — Manière de remplir les vides de l’ellipse, 758. — Zeugma, 759.

562

 

II. DU PLÉONASME.

Pléonasme ; ce que c’est, 760 ; — il doit augmenter l’énergie du discours par des idées accessoires, 761.

564

 

DE LA PÉRISSOLOGIE.

Etymologie et définition de la périssologie, 762 ; — Battologie. — Deux sortes de périssologie, 763. — Le datisme, 764.

566

 

DES MOTS EXPLÉTIFS.

567

 

III. DE LA RÉPÉTITION.

En quoi consiste la répétition, 766. — L’anaphore, 767. — Conversion ou épistrophe, 768. — Complexion, 769. — Réduplication, 770. — Anadiplose, 771. — Concaté­nation, 772. — Antimétabole ou antistrophe, 773. — Tautologie, 774.

576

 

IV. DE LA SYNTHÈSE.

Synthèse ; ce que c’est, 775. — Les phrases rapportées à la synthèse sont des tournures elliptiques, 776.

|469 578

 

V. DE L’INVERSION.

Etymologie de ce mot, 777. — L’ordre direct et naturel, qui doit servir de base à la syn­taxe de toutes les langues, n’est pas différent de l’ordre analytique, 778. — Dévelop­pement de ce principe, 779. — La succession analytique des idées est la base de la syntaxe dans toutes les langues imaginables, 780. — Les langues n’ont que deux manières de se conformer à l’ordre analytique, 781 ; — Langues analogues ; — Langues transpositives. — Marche des langues analogues, 782. — Procédé des langues transpositives, 783. — Dans les langues transpositives, les inflexions des mots sont déterminées par la succession analytique des idées, 784. — Les terminai­sons des mots servent à faire retrouver l’ordre analytique, 785. — La liaison des idées avec leur succession naturelle ne suffit pas pour constituer l’ordre analytique, 786, 787. — Les langues analogues ont des cas, dans certaines occasions, pour faci­liter l’inversion, 788. — En quoi consiste l’inversion, 789. — Pourquoi le français souffre peu d’inversions, 790, 791.

592

 

VI. DES IDIOTISMES.

|470 Idiotisme ; ce que c’est, 792. — Deux sortes d’idiotisme, 793 : — Idiotismes ré­guliers ; — Idiotismes irréguliers, 794. — Noms des idiotismes de chaque langue, 795. — Cause des idiotismes transportés d’une langue dans une autre, 796. — Galli­cismes, 797.

599

 

DE QUELQUES CONSTRUCTIONS VICIEUSES.

608

 

DU GALIMATIAS.

Galimatias ; ce que c’est, 801 ; — Exemple, 802. — Etymologie du mot galimatias, 803.

611

 

DU PHÉBUS.

Phébus ; ce que c’est, 804 ; — Exemples, 805.

616

 

DE L’USAGE.

Autorité de l’usage sur tout ce qui est relatif au matériel des mots, 808 ; — sur la valeur des mots, 809 ; — sur tout ce qui a rapport aux mots rassemblés, 810. — Ce que c’est qu’une langue, 811. — Manière de reconnaître le bon usage dans chaque langue, 812 ; — relativement aux langues mortes, 813. — Deux causes de mobilité relativement aux langues vivantes, 814. — L’usage est presque |471 toujours fondé sur une analyse exacte, ou sur quelque motif solide, 815. — Comme il est sujet à des changemens continuels, à la fin les langues se corrompent, 816. — Mauvais effet du néologisme, 817. — Usage douteux, 818. — Usage évident, 819. — L’usage évident est général, 820. — Usage partagé, 821. — Rien ne peut dispenser de se conformer aux décisions positives de l’usage, 822. — Les lois prohibitives de l’usage n’exigent pas toujours la même soumission, 823. — De la langue grecque, 824. — Langue latine, 825. — L’espagnol et l’italien, 826. — Langue anglaise, 827. — Langue française, 828.

635

 

DU NÉOLOGISME.

Double effet du néologisme, 829 : — il contribue quelquefois à enrichir la langue, 830 ; — plus souvent il tend à la dégrader, 831. — Deux espèces de néologisme, 832. — Utilité des dictionnaires néologiques, 833.

638

 

DE L’ARCHAÏSME.

Ce que c’est que l’archaïsme, 834. — Etymologie. Deux espèces d’archaïsme, 835. — Archaïsme vicieux, 836.

|472 640

 

DE L’ORTHOGRAPHE DES MOTS RASSEMBLÉS.

Lexicographie et logographie, 837. — Nécessité de l’orthographe, 838.

642

 

§. I.er DES SIGNES ORTHOGRAPHIQUES RELATIFS A L’ENSEMBLE DU DISCOURS.

Quels sont ces signes, 840. — Lettres majuscules, 841-847. — Les guillemets, 848. — Caractère italique ou souligné, 849. — Alinéa, 850. — L’astérisque, 852. — Le gui­don, 854. — N. B., 855.

646

 

§. II. DES SIGNES ORTHOGRAPHIQUES RELATIFS A L’ENSEMBLE ET A LA DISTRIBUTION DE CHAQUE PÉRIODE.

Quels sont ces signes, 856.

id.

 

I. DE LA PARENTHÈSE.

La parenthèse considérée sous un double point de vue, 857 : — Figure de construction, 858 ; — Hyperbate, 859. — La parenthèse, signe orthographique, 860.

548

 

II. DE LA PONCTUATION.

Ce que c’est que la ponctuation, 862. — Nécessité d’une ponctuation exacte, 863. — Sur quoi est fondé l’art de la ponctuation, 865. — Signes usuels de la |473 ponctuation, 866 : — La virgule, 867 ; — Emploi de la virgule, 868-873 ; — Point et virgule, ou virgule ponctuée, 874 ; — Deux points, 875-878 ; — Le point simple, 879. — Plusieurs points de suite, 880 ; — Abus de cette ponctuation, 881 ; — Le point interrogatif, 882 ; — Le point exclamatif, 883. — Ponctuation imparfaite des anciens, 884. — Néographisme, 885.

 

 

 



 

 

 

 

Pag.

 

TOME DEUXIÈME.

 
 

1

 

SECTION TROISIÈME.

id.

 

GRAMMAIRE FRANÇAISE.

Définition, 886. — Division de cette section, 887. — Sons et articulations, 888. — Lettres ; voyelles ; consonnes, 889. — Quantités, longues, brèves, 890. — Nécessité de connaître la quantité, 891. — Diphtongues, 892. — Différentes espèces d’E, 893 ; E ouvert ; E moyen, E fermé, E muet. — Nécessité de distinguer les diffé­rentes espèces d’E, 894. — Prosodie ; accens, 895 ; — accent |474 aigu, grave, cir­conflexe. — Accens orthographiques, 896 ; — accent aigu, grave, moyen, circon­flexe. — L’y entre deux voyelles, 897. — Tréma, 898. — Consonnes, 899. — La lettre h. — Syllabes, mots, propositions, discours, 900.

16

 

CHAPITRE PREMIER. — DES SUBSTANTIFS.

Substantifs physiques, 901 ; — artificiels, 902 ; — abstraits, 903. — Noms propres ; noms communs, 904. — Substantifs personnels, 906. — Substantifs numéraux, 908. — Substantifs elliptiques, 909. — 1.o On ; — 2.o Autrui ; — 3.o Ce ; — 4.o Ceci, cela ; — 5.o Personne ; — 6.o Quiconque ; — 7.o Quoi ; — 8.o Rien ; — 9.o Qui, lequel ; — 10.o Chacun, chacune ; — 11.o Y ; — 12.o Tout.

29

 

DES NOMBRES ET DES GENRES.

Un nom commun désigne l’espèce ou le genre, 910. — Manière d’approprier un nom commun à un individu, 911. — Définition des nombres, 912. — Singulier et pluriel, 913. — Noms propres sans pluriel, 914 ; — Première exception ; — Deuxième exception. — Manière de former le pluriel des noms communs, 915. — Règle géné­rale, 916. — Exceptions, 917. — |475 Noms sans pluriel. Noms des vertus et des vices, 918. — Noms des besoins, 919. — Noms des métaux, 920. — Noms sans singulier, 921. — Noms qui ont un sens différent au singulier et au pluriel, 922 ; — Ordre ; — Ciseau ; — Instruction ; — Expérience ; — Politesse, etc. — Genres, 923. — Substantifs tantôt masculins, tantôt féminins, 925. — Amour ; — Gens ; — Comté, etc. ; — Délice ; — Automne ; — Orgue ; — Exemple ; — Evangile ; — Couple. — Remarque sur les noms des animaux, 927.

45

 

CHAP. II. — DES MODIFICATIFS.

Modificatifs en général, 928. — Modificatif commun, 929. — Modificatifs combinés, 930. — Modificatifs particuliers, 931. — Modificatifs de proposition, 932. — Modi­ficatifs d’attribut, 933.

48

 

ARTICLE PREMIER. — DE L’ADJECTIF.

Définition, 935. — Adjectifs physiques, 936. — Adjectifs métaphysiques, 937. — Noms de nombre, 938 ; — Cardinaux ; — Ordinaux ; — Multiplicatifs, 939. — Autres adjectifs, 949 ; — Aucun, aucune ; — Autre ; — Ce, cet, etc. ; — |476 Cer­tain ; — Chaque ; — Même ; — Nul, nulle ; — Quel, quelle ; — Quelconque ; — Tel, telle. — Adjectifs pris substantivement, 941. — Remarque sur la classification des mots, 942. — Adjectifs devenus substantifs par ellipse, 943. — Genres des ad­jectifs, 944. — Nombres des adjectifs, 945. — Place des adjectifs, 946. — Significa­tions différentes selon que l’adjectif est placé avant ou après le substantif, 947 ; — Sage-femme ; — Femme sage ; — Rouge-bord ; — Bord rouge ; — Pauvre homme ; — Homme pauvre ; — Galant homme ; — Homme galant ; — Honnête homme ; — Homme honnête ; — Grand homme ; — Homme grand ; — Vilain homme ; — Homme vilain ; — Plaisant homme ; — Homme plaisant ; — Brave homme ; — Homme brave ; — Grosse femme ; — Femme grosse ; — Triste discours ; — Discours triste ; —Furieux taureau ; — Taureau furieux ; — Certain fait ; — Fait certain, etc.

69

 

DEGRÉS DE SIGNIFICATION DANS LES ADJECTIFS.

Adjectifs français qui ont un vrai comparatif et un superlatif, 949 ; — positif, 950 ; — comparatif, 951 ; — superlatif, 952.

|477 77

 

DE L’ACCORD ou CONCORDANCE ENTRE L’ADJECTIF ET LE SUBSTANTIF.

Accord en genre et en nombre, 953. — Accord d’un adjectif avec deux substantifs de même genre, 954. — Adjectif se rapportant à deux substantifs de différent genre, 955 : — Exception, 956.

81

 

REMARQUES SUR QUELQUES ADJECTIFS ET SUBSTANTIFS.

Chacun, 957 ; — L’un, l’autre, 958 ; — Quelque, 959 ; — Quel, que, 960 ; — Leur, 961 ; — Mon épée, mon âme, etc., solécismes par euphonie, 962. — Remarque sur l’emploi des adjectifs possessifs, 963. — Règle générale ; — Exception, 964 — Il fut un de ceux qui fit ou qui firent, 965. — Vingt-un ou vingt et un, etc., 966 ; — Cent, vingt, 967 ; — Millésime, 968 ; — Mille, 969 ; — Demi, demie, 970. — Substantif collectif, 971 : — La plupart, 972 ; — Qui, 973.

91

 

ART. II. — DE L’ARTICLE.

Utilité des articles, 975. — L’article substantifie les verbes et les adjectifs, 976 ; — ne suffit pas pour appliquer le nom d’une espèce à un individu, 977. — Noms |478 propres sans articles, 978 : — première exception, 979 ; — deuxième exception, 980. — Elision, 981. — Apostrophe, signe orthographique. — Articles réunis en un seul mot avec les prépositions de ou à, 982. — Suppression de l’article, lorsque l’adjectif précède le substantif, 983 : — Exception, 984. — Suppression de l’article devant le sujet ou devant le complément, 985. — Le, la, les ne sont pas toujours articles, 986. — Pronoms, — Le, remplaçant des adjectifs, est invariable, 987 ; — Le, remplaçant un substantif, en prend le genre et le nombre, 988.

105

 

ART. III. — DU VERBE.

Verbe ; ce que c’est, 989. — Manière de s’assurer, dans notre langue, qu’un mot est verbe. — Modificatifs combinés susceptibles de terminaisons variées, relatives aux nombres et aux personnes, 990. — Un seul verbe suffirait dans chaque langue, 991. — Temps, 992. — Trois temps principaux, 993. — Plus que parfait, 994. — Prétérit antérieur, 995. — Deux formes négligées, 996. — Prétérit défini, 997. — Prétérit indéfini, 998. — Choix à faire entre le prétérit défini et le prétérit indéfini. — Impar­fait, ou |479 passé simultané, 999. — Autres manières d’exprimer un prétérit. — Formes relatives au passé, 1000. — Présent, 1001. — Circonstances où l’on emploie le présent. — Présent sous la forme de l’imparfait, 1002 ; — Présent employé pour des actions passées, 1003. — Futur simple, ou absolu, 1004. — Présent employé pour le futur, 1005. — Futur passé, ou composé, 1006. — Forme négligée, 1007. — Huit formes différentes, 1008. — Inflexions relatives aux nombres et aux personnes, 1009. — Modes, 1010. — Mode indicatif, ou affirmatif, 1011. — Mode condition­nel, ou suppositif, 1012. — Prétérit antérieur, ou plus que parfait du conditionnel, 1013. — Forme négligée, 1014. — Prétérit du conditionnel, 1015. — Présent et futur du conditionnel, 1016. Trois formes du conditionnel, 1017. — Observation, 1018. — Impératif, 1019. — Présent de l’impératif, 1020. — Futur de l’impératif, 1021. — Pourquoi les temps de l’impératif n’ont pas de première personne au sin­gulier, 1022. — Pourquoi les troisièmes personnes sont précédées de la conjonction que, 1023. — Subjonctif ou optatif, 1024. — Présent et futur du subjonctif, 1025. — Imparfait du |480 subjonctif, 1026. — Prétérit du subjonctif, 1027. — Plus que parfait du subjonctif, 1028. — Forme négligée, 1029. — Formes du subjonctif, 1030. — Infinitif, 1031. — Mode attributif, 1032. — Deux formes de ce mode, 1033. — Participe actif ou présent. — Participe passif ou passé, 1034. — Mode interrogatif, 1035. — Le sujet se place après le verbe dans divers cas. — Récapitula­tion, 1037 : — 1.o Infinitif ; — 2.o L’attributif ; deux formes ; — 3.o L’indicatif, huit formes ; — 4.o Le conditionnel, trois formes ; — 5.o L’impératif, deux formes ; — 6.o Subjonctif ou optatif, quatre formes ; — 7.o L’interrogatif, onze formes. — Nombre total des formes et des inflexions de chaque verbe, 1038. — Conjuguer, 1039. — Conjugaisons, 1040. — Verbes auxiliaires, 1041. — Conjugai­son de avoir, 1042. — Conjugaison de être, 1043. — Observations, 1044-1046. — Verbes régu­liers, 1047. — Conjugaison des verbes réguliers en er, 1048.

161

 

MODÈLE, ou PARADIGME, AIMER.

Remarques, 1049. — Verbes irréguliers de la première conjugaison, 1050. — 1.o Aller ; |481 — 2.o Puer ; — 3.o Employer ; — 4.o Envoyer. — Conjugaison des verbes régu­liers en ir, 1051.

168

 

MODÈLE, ou PARADIGME, FINIR.

Remarques, 1052. — Autres modèles de conjugaisons en ir, 1053. — Observations, 1054. — Verbes conjugués comme Finir, 1055. — Irréguliers, 1056 : — 1.o Bénir ; — 2.o Fleurir ; — 3.o Haïr. — Verbes conjugués comme Sentir, 1056 bis. — Ressortir. — Irréguliers, 1057 : — 1.o Bouillir ; — 2.o Courir ; — 3.o Fuir ; — 4.o Mourir ; — 5.o Vêtir ; — 6.o Acquérir, Querir ; — 7.o Faillir. — Verbes conjugués comme Ouvrir, 1058. — Irréguliers, 1059 : — 1.o Cueillir ; — 2.o Saillir. — Verbes conjugués comme Tenir, 1060. — Conjugaison des verbes réguliers en oir, 1061.

178

 

MODÈLE, ou PARADIGME, RECEVOIR.

Verbes conjugués comme Recevoir, 1062. — Irréguliers, 1063 : — 1.o Seoir ; — 2.o Surseoir ; — 3.o S’asseoir ; — 4.o Voir et ses composés ; — 5.oPourvoir ; — 6.o Savoir ; — 7.o Mouvoir ; — 8.o Pouvoir ; — 9.o Valoir ; — 10.o Vouloir ; — 11.o Choir ; — 12.o Echoir ; — 13.o Déchoir. — Conjugaison des verbes en re, 1064.

|482 187

 

MODÈLE, ou PARADIGME, RENDRE.

Quatre autres modèles de conjugaisons en re, 1065. — Verbes conjugués comme Rendre, 1066. — Irréguliers, 1067. — 1.o Absoudre, et Dissoudre ; — 2.o Coudre et ses composés ; — 3.o Mettre et ses composés ; — 4.o Moudre et ses composés ; —5.oPrendre et ses composés ; — 6.o Résoudre ; — 7.o Suivre et ses composés ; — 8.o Vivre et ses composés. — Verbes qui se conjuguent comme Plaire, 1068. — Irréguliers, 1069 : — 1.o Braire ; — 2.o Faire et ses composés ; — 3.o Traire. — Verbes conjugués comme Paraître, 1070. — Irréguliers, 1071 : — 1.o Naître ; — 2.o Paître. — Conjugaisons des verbes terminés en ire, 1072. — Irréguliers, 1073 : — 1.o Bruire ; — 2.o Boire ; — 3.o Clorre ; — 4.o Conclure ; — 5.o Circoncire ; — 6.o Confire, Suffire ; — 7.o Dire et ses composés ; — 8.o Eclore ; — 9.o Ecrire et ses composés ; — 10.o Frire ; — 11.o Lire et ses composés ; — 12.o Luire et ses compo­sés ; — 13.o Nuire ; — 14.o Rire, Sourire ; — 15.o Vaincre, Convaincre. — Verbes conjugués comme Craindre, 1074.

200

 

DIFFÉRENTES ESPÈCES DE VERBES.

Défectifs, 1076. — Monopersonnels ou im- |483 personnels, 1077. — Actifs et passifs, 1078. — Si nous avons réellement des verbes passifs en français, 1079. — Verbes d’état, 1080. — Verbes réfléchis, 1081. — Résumé, 1082.

206

 

QUELQUES REMARQUES SUR LES VERBES.

Observations sur le mode interrogatif, 1083. — Parlé-je ? chanté-je ? 1084. — Seconde personne de l’impératif suivie d’un s devant y, 1086. — Emploi des formes du subjonctif, 1087. — Il s’en est allé ; il s’est enfui, 1088. — Résolu et résous, par­ticipes du verbe Résoudre, 1089. — Vaillant n’est pas le participe du verbe Valoir, 1090. — En quoi le pluriel de certains participes passés et les secondes personnes de certains temps diffèrent par l’orthographe, 1091. — Ne pas donner à deux verbes, réunis par une conjonction, le même complément, lorsqu’ils en exigent de différens, 1092. — Ne pas donner un complément direct à un verbe qui en exige un indirect, 1093. — Les verbes actifs ont pour auxiliaire Avoir, 1094. — Les verbes passifs ont pour auxiliaire Être, 1095. — Il en est de même des verbes réfléchis, 1096. — Auxi­liaires des verbes d’état, 1097. — Choix |484 à faire entre les verbes Etre et Avoir, 1098. — Convenir ; son auxiliaire, 1099. — Avec ne, le présent de l’impératif, 1100. — Faute commune, 1101.

216

 

ART. IV. — DES PARTICIPES.

Etymologie du mot participe, 1103. — Participes devenus adjectifs, 1104.

218

 

DES PARTICIPES PRÉSENS ou ACTIFS.

Participes présens invariables, lorsqu’ils sont suivis d’un complément, 1105. — Sans complément, ils sont adjectifs et variables, 1106. — Vices de construction relatifs au participe présent, 1109. — Autres exemples, 1110.

223

 

DES PARTICIPES PASSÉS ou PASSIFS.

Première règle, 1112. — Seconde règle, 1113. — Troisième règle, 1114. — Remarque, 1115. — Quatrième règle, 1116. — Remarque, 1117. — Deuxième remarque, 1118. — Exceptions, 1119. — Vices de construction relatifs aux participes passés, 1120. — Quels sont les complémens qu’on peut placer avant le mot complété, 1121.

|485 234

 

ART. V. — DES CONJONCTIONS.

Etymologie et définition, 1122. — Rapports entre les propositions, 1123. — Les con­jonctions ne lient pas toujours les pensées, 1124 ; — Ni ; — Ou ; — Mais. — Soit, 1125 ; — Que, 1126.

238

 

ART. VI. — DES PRÉPOSITIONS.

Etymologie, 1127. — Il est inutile de classer les prépositions, 1128. — A travers, au travers, 1129. — Autour, alentour, 1130. — Hors, hormis, 1131 ; — Dehors ; — De dehors, en dehors ; — Par dehors ; — Au dehors. — Par, 1132. — Près, 1133 ; Près de, prêt à ; — Auprès. — Dans, en, 1134 ; — Dedans, 1135. — Sur, sous, dessus, dessous, 1136 ; — De dessus, etc. — A même, 1137 ; — Sans, 1138. — Selon, suivant, 1139. — Avant, devant, 1140. — Rez, 1141. — Plein, 1142.

249

 

ART. VII. — DE L’ADVERBE.

Définition et étymologie, 1143. — Un adverbe équivaut à une préposition avec son complément, 1144. — Auparavant, 1145. — Quand, quant, 1146. — Comme, 1147. — Tout, 1148. — Beaucoup, bien, 1149 ; — Mal.Plus, |486 davantage, 1150 ; — Moins. — Adjectifs employés adverbialement, 1151. — Court, 1152 ; — Lez, 1153 ; — Trop, 1154 ; — Quelque, 1155 ; — Loin, 1156 ; — Debout, 1157.

258

 

ART. VIII. — DES INTERJECTIONS.

Interjections ; ce que c’est, 1158.

 

 

 
 

261

 

SECTION QUATRIÈME.

id.

 

ART DE RAISONNER.

Raisonner ; ce que c’est, 1161. — Division de ce traité, 1162.

263

 

CHAPITRE PREMIER. — DES IDÉES.

Division de ce chapitre, 1163.

id.

 

§. I.er DE LA LIAISON DES IDÉES.

Comment se fait la liaison des idées, 1164. — Elle est l’effet d’une impression étran­gère ou de notre volonté, 1165. — Avantages de la liaison des idées, 1166. — Sans la liaison des idées, nous serions imbécilles, 1167. — Inconvéniens de la liaison des idées, 1168. — Elle est une source de préjugés, 1169-1171. — Moyen |487 d’éviter ces inconvéniens, 1172. — Influence de la liaison des idées sur nos mœurs, 1173. — Avantages qu’on pourrait en retirer pour perfectionner l’espèce humaine, 1174.

273

 

§. II. DE LA NÉCESSITÉ DES SIGNES.

Nécessité des signes pour communiquer nos pensées, 1176 ; — pour fixer et étendre nos connaissances, 1177 ; — dans l’arithmétique, 1178, 1179 ; — dans la géométrie, 1180 ; — dans les autres sciences, 1181, 1182. — Réunion de plusieurs idées sous un seul signe, 1183 ; — 1.o sur un modèle, 1184. — Signes nécessaires pour réflé­chir sur les substances, 1185. — 2.o Réunion d’idées sans modèle, 1186. — Conclu­sion, 1187.

283

 

§. III. DE LA PERFECTION DES SIGNES.

Influence de la perfection des signes sur les progrès des sciences, 1188. — En quoi consiste la perfection des signes, 1189. — Précision dans la signification des mots, 1190, 1191. — Autorité de l’usage sur cet objet, 1192. — Noms des idées simples, 1193. — Noms des idées complexes, 1194. — Noms des substances, 1195. — Noms des idées abstraites relatives aux subs- |488 tances, 1196. — Noms des êtres moraux, 1197-1200. — Différence entre les notions des substances et les notions des êtres moraux, 1201, 1202.

295

 

§. IV. DES ERREURS DES SENS.

Prévention générale contre les sens, 1203. — Rien de plus clair que nos perceptions, 1204. — Les sens nous donnent des idées de grandeur et de figure, 1205. — Nous ne pouvons pas expliquer la nature de nos sensations, 1206. — Les sensations ne sont pas dans les objets qui les occasionnent, 1207. — Cause des erreurs attribuées aux sens, 1208. — De quelle manière nos connaissances viennent des sens, 1209.

301

 

CHAP. II. — DU JUGEMENT.

Jugement ; ce que c’est, 1210. — Il suppose deux idées, 1211. — Il y a deux termes dans un jugement, 1212. — Sujet et attribut logiques, 1213. — L’idée de l’existence est inséparable de tout attribut, 1214. — L’essence du jugement consiste dans l’affirmation, 1215. — Cette affirmation est exprimée par les formes du mode affirmatif ou du mode conditionnel, 1216. — Conséquences, 1217.

|489 317

 

DES CAUSES DES ERREURS OU NOUS TOMBONS DANS NOS JUGEMENS.

La précipitation, 1218. — Les préjugés, 1219. — Examen utile des préjugés, 1220. — Les passions, 1221.

321

 

CHAP. III. — DU RAISONNEMENT.

Ce que c’est que le raisonnement, 1222. — Procédé de l’entendement dans un raisonne­ment à trois propositions, 1223. — Autre exemple, 1224. — Différence entre ces deux raisonnemens, 1225. — Règle générale pour s’assurer si un raisonnement est juste, 1226. — Raisonnemens à deux propositions, 1227. — Raisonnemens à plus de trois propositions, 1228. — Autre exemple, 1229. — Identité considérée comme preuve de la justesse d’un raisonnement, et de la vérité d’une proposition, 1230. — Identité partielle et restreinte entre le sujet et l’attribut de la plupart des propositions, 1231. — Division de ce chapitre, 1232.

341

 

§. I.er DE LA VÉRITÉ.

Ce que c’est que la vérité, 1233. — Vérités contingentes, 1234. — Vérités historiques, 1235. — Vérités nécessaires ou éternelles, 1236. — Les vérités contingentes sont |490 plus sensibles, plus familières et moins lumineuses, 1237. — Les vérités néces­saires sont moins sensibles, moins familières et plus lumineuses, 1238. — Nous ne pouvons pas connaître l’essence des substances, 1239.

346

 

§. II. DE LA CERTITUDE.

Ce que c’est que la certitude, 1240. — En quoi elle diffère de l’évidence, 1241. — Signe ou effet de la certitude, 1242. — Autre différence entre la certitude et l’évi­dence, 1243. — Trois espèces de certitude, 1244. — Certitude métaphysique, 1245. — Certitude physique, 1246. — Certitude morale, 1247.

351

 

§. III. — DE L’ÉVIDENCE.

Ce que c’est que l’évidence, 1248.

id.

 

DE L’ÉVIDENCE DE RAISON.

Quel est le caractère propre de l’évidence de raison, 1249. — Propositions évidentes par elles-mêmes, 1250. — Axiomes, 1251. — Propositions d’une évidence médiate, 1252. — Démonstration, 1253, 1254. — L’évidence médiate n’est telle qu’à cause des bornes de notre intelligence, 1255.

356

 

DE L’ÉVIDENCE DE SENTIMENT.

|491 L’évidence de sentiment est une des bases de nos connaissances, 1256. — Elle pa­raît être l’une des sources de nos erreurs ; et pourquoi, 1257. — Nous ne démêlons pas toujours exactement ce qui se passe en nous, 1259. — Souvent nous supposons en nous ce qui n’y est pas, 1260. — Il y a des moyens pour bien juger de ce que l’on sent, 1261-1263.

363

 

DE L’ÉVIDENCE DE FAIT.

En quoi consiste l’évidence de fait, 1264, 1265. — L’évidence de fait ne s’étend qu’aux propriétés relatives des corps, 1266. — Elle recueille les matérianx [sic] de la physique, 1267. — Phénomènes, 1268. — Observations, 1269. — Expériences, 1270. — Différence entre les observations et les expériences, 1271. — Concours de l’évidence de raison avec l’évidence de fait pour former un système, 1272, 1273. — Autres moyens d’acquérir des connaissances, 1274.

370

 

§. IV. DU TÉMOIGNAGE DES AUTRES.

Le témoignage produit quelquefois la certitude, 1275. — D’autres fois une probabilité plus ou moins forte, 1276 ; — surtout si le fait est conforme à l’analogie, 1277.

|492 372

 

§. V. DE LA PROBABILITÉ.

Comment on peut se former une idée de la probabilité, 1278. — Soupçon, doute, 1279-1281. — Incertitude, 1282. — Probabilité, 1283. — Vraisemblance, 1284. — Diffé­rens degrés, 1285. — Probabilité soumise au calcul, 1286 ; — Arithmétique poli­tique. — Règles générales à observer sur les probabilités, 1288.

378

 

§. VI. DES CONJECTURES.

Ce que c’est qu’une conjecture, 1289. — Elles sont souvent utiles, 1290. — Le plus faible degré de conjecture, 1291. — Conjectures du second degré, 1292. — Conclu­sion, 1293.

383

 

§. VII. DE L’ANALOGIE.

Etymologie et signification du mot analogie, 1294. — Différentes espèces d’analogie, 1295, 1296. — Récapitulation, 1297.

389

 

§. VIII. DE LA FORME DU RAISONNEMENT.

Ce n’est pas la forme qui constitue le raisonnement, 1298.

390

 

I. DU SYLLOGISME.

Matière du syllogisme, 1299, 1300. — |493 Marche du syllogisme, 1301. — Prémisses, 1302, 1303.

394

 

II. DES AUTRES ESPÈCES DE RAISONNEMENT.

L’enthimème, 1304. — Le dilemme, 1305 ; — Qualités d’un bon dilemme. — Le sorite, 1306 ; — Règles pour un bon sorite. — L’induction, 1307.

398

 

§. IX. DES SOPHISMES.

Ce qu’on entend par sophismes, 1308. — Ambiguité ou équivoque, 1309 ; — Exemples de sophismes. — Quiproquo, 1310. — Pétition de principe, 1311. — Le cercle vi­cieux, 1312. — Prendre pour cause ce qui n’est pas cause, 1313. — Conclure du particulier au général, 1314.

405

 

CHAPITRE QUATRIÈME. — DE LA MÉTHODE.

Ce que c’est que la méthode, 1315. — Nécessité de l’ordre, 1316. — Défauts à éviter pour mettre de l’ordre dans ses discours, 1317. — Deux sortes de méthodes, 1318.

408

 

§. I.er DE LA SYNTHÈSE.

Synthèse, méthode de composition, 1319. — Abus de cette méthode, 1320. — Ré­flexions sur la méthode des géomètres, |494 1321. — Autre inconvénient de la syn­thèse, 1322. — Utilité des principes généraux, 1323. — Comment s’est introduit l’usage des principes généraux, 1324.

414

 

§. II. DE L’ANALYSE.

Idée de l’analyse, 1325. — Exemple, 1326. — Utilité de l’analyse, 1327 ; — elle est applicable à toutes les sciences, 1328 ; — est propre à étendre nos connaissances, 1329 ; — à déterminer les idées simples, 1330 ; — les idées complexes, 1331. — L’analyse doit être faite avec soin, 1332. — Analyse complète en elle-même, 1333 ; — complète relativement à nos connaissances, 1334. — L’analyse ne peut pas apprécier tous les rapports, 1335. — L’analyse est la méthode la plus convenable pour l’exposition de la vérité, 1336.

427

 

CONCLUSION.

 

 

 

 

 

|495

 

Fin de la Table des Matières.

 

 

 

 

LISTE ALPHABÉTIQUE

DES AUTEURS CITÉS DANS LA GRAMMAIRE FRANÇAISE.

 
 

 

 

A.

Anonymes : page 22 ; — à la note de la page 25 ; n.o 909, — 941, — 993, — 1001, — 1115.

Aubert (Jean-Louis), né à Paris, en 1731, professeur de langue française au collège Royal, rédacteur du journal de Trévoux. Il a fait des fables estimées, quelques autres petits poëmes, entr’autres celui de Psyché, et d’autres ouvrages ; n.o 973.

 

 

 

B.

Bernis (François-Joachim de), né en 1715, mort à Rome, ambassadeur, en 1794, cardinal, membre de l’académie française. Il a fait, dans sa jeunesse, divers petits poëmes ; les Quatre parties du jour, les Quatre Saisons, des épîtres, etc., où l’on remarque une grande richesse d’imagination, de la vivacité, et des allusions fréquentes à la Mythologie : n.o 993, — 1150.

|496 Bertaud (Jean), né à Caen, en 1522, évêque de Sens, ami et contemporain de Ronsard, et meilleur poëte que lui Les MM. de Port-Royal, tout austères qu’ils étaient, ont inséré dans leur Commentaire sur Job, les vers cités au n.o 998, et dont voici la suite : 

         Hélas ! il ne me reste
         De mes contentemens,
         Qu’un souvenir funeste,
Qui me les convertit à toute heure en tourmens.

         Le sort, plein d’injustice,
         M’ayant enfin rendu
         Ce reste un pur supplice,
Je serais plus heureux, si je l’avais perdu.

 

 

Boileau-Despréaux (Nicolas), né à Crône, près de Paris, en 1636, mort en 1711, membre de l’académie française et de celle des inscriptions, l’un des plus grands poëtes du célèbre siècle de Louis XIV, si fécond en grands-hommes, et l’un des critiques les plus sages et les plus judicieux de tous les siècles. Ses principaux ouvrages sont l’Art poétique, le Lutrin, des épîtres, des satires, etc., page 16 ; n.o 914, — 941, — 983, — 999, — 1092, — 1120, — 1130, — 1132, — 1133, — 1140.

 

 

Brumoy (Pierre), jésuite, né à Rouen, en 1688, mort à Paris, en 1742. Son Théâtre des Grecs |497 est estimé. Il a fait de plus quelques petits poëmes en vers latins, l’Histoire de l’Eglise gallicane, etc. : cité à la note de la page 11.

 

 

 

C.

Clément (Jean-Marie-Bernard), né en 1742, à Dijon ; critique sévère, et auteur de quelques satires estimées : n.o 918.

 

 

Cicéron (Marcus-Tullius-Cicero), le plus grand orateur et l’un des plus grands philosophes de l’ancienne Rome.

 

 

Corneille (Pierre), né à Rouen, en 1606, mort à Paris, en 1684, membre de l’académie française ; le premier grand poëte dramatique qu’ait eu la France ; surnommé encore aujourd’hui le Grand Corneille, à cause de la force et de la sublimité de plusieurs endroits de ses tragédies. Les plus estimées sont le Cid, les Horaces, Cinna, Polyeucte, etc. ; il a fait aussi des comédies : n.os 985, — 1036, — 1110, — 1121, — 1136.

 

 

Crébillon (Prosper Jolyot de), né à Dijon, en 1674, mort à paris, en 1762, membre de l’académie française ; poëte tragique qui a employé principalement le ressort de la terreur. Il débuta par la tragédie d’Idoménée ; il donna ensuite Atrée et Thieste, Rhadamiste et Zénobie, etc. : n.o 1133.

 

|498

 

D.

D’Alembert (Jean le Rond), né à Paris, en 1717, mort en 1783 ; secrétaire perpétuel de l’académie française, membre de celle des sciences et de plusieurs académies étrangères ; grand mathé­maticien, philosophe, littérateur, pag. 1.

 

 

Delille (Jacques), membre de l’académie française, aujourd’hui membre de l’institut national, pro­fesseur au collége de France ; auteur d’une excellente traduction en vers des Géorgiques et de l’Enéide de Virgile, du poëme des Jardins, de celui de l’Imagination, etc. ; pag. 234, 238.

 

 

Despréaux ; voyez Boileau.

 

 

Duclos (Charles), né à Dinant en Bretagne, mort à Paris, en 1772, secrétaire perpétuel de l’académie française, membre de celle des inscriptions et belles-lettres, et de plusieurs académies étran­gères ; auteur de l’Histoire de Louis XI, des Considérations sur les Mœurs de ce siècle, de Mémoires, etc. ; n.o 1117.

 

 

 

F.

Fontaine ; voyez La Fontaine.

 

 

 

G.

Gresset (Jean-Baptiste-Louis), né à Amiens, en 1709, mort en 1777, membre de l’académie |499  française ; auteur de quelques pièces de théâtre estimées par les connaisseurs, et de plusieurs poésies fugitives pleines de douceur et d’agrément, entr’autres Ververt, le Lutrin vivant[,] le Carême impromptu, la Chartreuse, etc. ; n.o 1156.

 

 

 

H.

Hénault (Jean), né à Paris, mort en 1682 ; il apprit les règles de la poésie et en inspira le goût à la célèbre Madame Deshoulières : il ne nous reste de lui que quelques morceaux : on assure qu’il avait traduit tout le poëme de Lucrèce de naturâ rerum, et qu’il mit sa traduction au feu par des motifs de conscience ; n.o 994.

 

 

Horace, pöete latin dont tout le monde connaît le mérite supérieur ; ami et contemporain de Virgile et de Mécène, dans le beau siècle d’Auguste ; pag. 29, — 81, — 105, — 200.

 

 

 

I.

Imbert (Barthelemi), né à Nîmes, en 1747, mort en ..... On a de lui le Jugement de Pâris, des fables, des contes en vers, etc., où l’on remarque une versification piquante, coupée avec une agré­able variété : n.os 1126, — 1150, — 1159.

 

|500

 

L.

La Fontaine (Jean), né à Château-Thierri, en Champagne, en 1621, mort à Paris en 1695, membre de l’académie française ; poëte original, inimitable, le premier fabuliste du monde ; tour à tour sublime, gracieux, naïf, profond ; toujours aimable, toujours naturel, il est lu et relu toujours avec plaisir par les hommes de tous les âges, de tous les pays, de tous les caractères, tant il a su trouver ce point de perfection qui satisfait tous les goûts : n.os 909 ; 2.o, 3.o, 4.o, 5.o, 6.o, 7.o, 10.o, 12.; — 937, — 940, — 943, — 949, — 951, — 952, 953, — 958, — 960, — 961, — 969, — 972, — 973, — 976, — 980, — 983, — 985, — 988, — 993, — 1004, — 1006, — 1012, — 1016, — 1019, — 1020, — 1024, — 1026, — 1031, — 1033, —1037, 1.o; — 1063, 11.o; — 1077, — 1083, — 1084, — 1085, — 1100, — 1105, — 1120, — 1121, — 1124, — 1131, — 1136, — 1140, — 1146, — 1147, — 1150, — 1152, — 1155, — 1159.

 

 

 

M.

Malherbe (François de), né à Caen, en 1556, mort à Paris, en 1628 ; le créateur de la belle poésie en France ;

Enfin Malherbe vint, et, le premier en France,
Fit sentir dans ses vers une juste cadence,
|501 D’un mot mis en sa place enseigna le pouvoir,
Et réduisit la muse aux règles du devoir ;
Par ce sage écrivain la langue réparée
N’offrit plus rien de rude à l’oreille épurée.
Les stances avec grace apprirent à tomber,
Et le vers sur les vers n’osa plus enjamber.
Tout reconnut ses lois ; et ce guide fidèle
Aux auteurs de ce temps sert encor de modèle.

Il a réussi particulièrement dans la poésie lyrique : cité n.o 1001.

 

 

Manilius, poëte latin ; pag. 206, — 216.

 

 

Maynard (François), né à Toulouse, en 1582, mort en 1646, membre de l’académie française, élève de Malherbe, et ami de Regnier et de Desportes ; un des poëtes les plus élégants et les plus corrects de son temps, et qui néanmoins n’eut jamais aucune part aux bienfaits que le cardi­nal de Richelieu se plaisait à répandre sur les gens de lettres. Il lui adressa un jour ces beaux vers :

Armand, l’âge affaiblit mes yeux,
Et toute ma chaleur me quitte ;
Je verrai bientôt mes aïeux
Sur le rivage du Cocyte.

C’est où je serai des suivans
De ce bon monarque de France,
Qui fut le père des savans,
En un siècle plein d’ignorance.

|502 Dès que j’approcherai de lui,
Il voudrai que je lui raconte
Tout ce que tu fais aujourd’hui
Pour combler l’Espagne de honte.

Je contenterai son désir
Par le beau récit de ta vie,
Et charmerai le déplaisir
Qui lui fit maudire Pavie.

Mais s’il demande à quel emploi
Tu m’as occupé dans le monde,
Et quel bien j’ai reçu de toi ;
Que veux-tu que je lui réponde ?

A une demande si élégamment tournée, le cardinal répondit froidement et séchement : Rien ! Le malheureux Maynard se retira chez lui, et mit sur la porte de son cabinet les vers cités au n.o 1124.

 

 

Molière (Jean-Baptiste Pocquelin de), né à Paris, en 1620, mort dans la même ville en 1673 : le premier des poëtes comiques, soit anciens, soit modernes. M. l’abbé de Voisenon a dit de lui: « Ce fut sans contredit le plus grand philosophe de son siècle. Personne n’a jamais mieux connu les ridicules, et ne les a peints avec tant de force et de vérité. Les auteurs qu’il sur­passait, les originaux qu’il peignait, ses camarades qu’il enrichissait, étaient ses ennemis. Il avait des talens trop supérieurs, et s’appliquait trop à corriger les mœurs, |503 pour n’être pas le plus honnête homme : il était ce qu’il désirait que les autres fussent ». Ses principales comédies sont l’Avare, l’Ecole des Maris, le Tartuffe, le Misanthrope, les Femmes savantes, etc. : cité n.os 952, — 973, — 1121, — 1138, — 1155.

 

 

Montagne [sic] (Michel de), né dans le château de Montagne, près de Bordeaux, en 1533, mort en 1592 ; philosophe original, profond, énergique, d’une imagination forte, féconde, hardie, et presque toujours agréable, et ayant l’art d’exprimer de grandes choses d’une manière naïve et pittoresque. Ses Essais sont connus de tout le monde : cité page 45, et à la note a page 51.

 

 

 

O.

Ovide, poëte latin du siècle d’Auguste, remarquable surtout par le brillant et la richesse de son imagination.

 

 

 

P.

Panard (Charles-François), né à Couville, près de Chartres, en 1690, mort à Paris, en 1765. Beau­coup de délicatesse et de naïveté dans la composition de ses vaudevilles l’ont fait surnommer le La Fontaine du vaudeville. Outre les vers cités aux n.os 909, 8.o ; — 1126, — 1154, en |504 voici d’autres que l’on ne sera pas fâché de retrouver ici.

L’esprit n’est plus qu’un faux brillant,
La beauté qu’un faux étalage,
Les caresses qu’un faux semblant,
Les promesses qu’un faux langage.
Fausse gloire, fausse grandeur,
Logent partout le faux honneur.
Partout on voit fausse noblesse,
Fausse apparence, faux dehors,
Faux airs, fausse délicatesse,
Faux bruits, faux avis, faux rapports.

Petit bien qui ne doive rien,
Petit jardin, petite table,
Petit minois qui m’aime bien,
Sont pour moi chose délectable.
J’aime à trouver, quand il fait froid,
Grand feu dans un petit endroit ;
Les délicats font grande chère,
Quand on leur sert, dans un repas,
De grand vin dans un petit verre,
De grands mets dans des petits plats.

 

 

Pavillon (Etienne), né à Paris, en 1632, mort dans la même ville, en 1705 ; membre de l’académie française et de celle des inscriptions et belles-lettres. On remarque dans ses poésies fugitives du naturel, de la délicatesse, beaucoup de facilité, et une galanterie éloignée de toute fadeur. Un poëte a dit de lui :

       Rival ingénieux d’Ovide,
       S’il voulait fléchir une Iris,
       |505 Les Grâces dictaient ses écrits,
       Et l’Amour lui servait de guide.
La sagesse bientôt sut bannir de son cœur
Les vains amusemens de l’amoureuse ardeur.
       Par une adresse sans égale,
       Il prit soin de former les mœurs,
En cachant sous l’appas de ses vers enchanteurs
       Les traits d’une austère morale.

Cité n.o 909, 3.o; — pag. 223.

 

   

[Q.]

Quintilien, critique et rhéteur latin, dont les ouvrages sont très-estimés et méritent de l’être.

 

 

 

[R.]

Racine (Jean), né à la Ferté-Milon, en 1639, mort à Paris, en 1699, membre de l’académie française. C’est lui qui a porté la poésie française au plus haut point de noblesse, d’harmonie, d’élégance, de pureté, de sentiment, en un mot de perfection. Ses tragédies seront toujours un modèle sous tous les rapports. Sa prose n’a pas moins de perfection que ses vers. Voltaire le jugeait inimitable : cité aux n.os 952, — 973, — 1110, — 1115, — 1120, — 1129, — 1133, — 1136, — 1140.

 

 

Racine (Louis), fils du précédent, que Voltaire appelait plaisamment le petit-fils de son grand père, né à Paris en 1692, mort dans la même ville en 1763, membre de l’académie des inscriptions et belles-lettres, auteur du poême |506 de la Religion et de celui de la Grâce : cité n.o 1001.

 

 

Regnier (Mathurin), né à Chartres, en 1573, mort à Rouen, en 1613, poète satyrique. C’est de lui que Boileau a dit, dans son Art poétique :

Heureux ! si ses discours, craints du chaste lecteur,
Ne se sentaient des lieux que fréquentait l’auteur ;
Et si, du son hardi de ses rimes cyniques,
Il n’alarmait souvent les oreilles pudiques.

Cité n.o 997.

 

 

Rousseau (Jean-Baptiste), né à Paris, en 1671, mort à Bruxelles, en 1741 ; poète lyrique, plein de verve, de génie, d’enthousiasme. Outre ses odes sacrées et profanes, il a fait des épîtres, des cantates, des allégories et quelques comédies : cité n.o 1035, — 1120.

 

 

Rousseau (Jean-Jacques), né à Genève, en 1712, mort près de Paris, en 1778 ; homme étonnant par ses singularités, ses paradoxes, ses erreurs, son éloquence, son génie, sa véhémence, et la force mâle, énergique et austère de son style : cité au n.o 1146.

 

 

 

[S.]

Salvien, auteur latin : cité à la note de la page 62.

 

 

Segrais (Jean-Regnault de), né en 1625, mort à |507 Caen, sa patrie, en 1701 ; membre de l’acadé­mie française ; auteur de plusieurs églogues encore estimées ; et d’une traduction en vers de Virgile, qu’on ne lit plus depuis longtemps : cité n.o 1025.

 

 

 

[T.]

Théatre des Grecs ; voyez Brumoy.

 

 

 

[V.]

Virgile, l’un des plus grands poëtes du siècle d’Auguste, ami d’Horace et de Mécène, auteur de plusieurs églogues, des Géorgiques et de l’Enéide.

 

 

Voltaire (Marie-François Arouet de), né à Paris, en 1694, mort dans la même ville, en 1778 ; membre de presque toutes les sociétés littéraires de l’Europe ; philosophe, poëte, prosateur, historien, romancier ; il a montré les connaissances les plus étendues, les talens les plus variés, une fécondité étonnante ; il a fait des comédies, des tragédies, des opéras, un poëme épique, des odes, des épîtres, etc., etc. : cité aux n.os 909, 6.o ; — 1031-1037, 1. o ; — 1104, — 1124.

 

 

 

|508

 

Fin de la Liste des Auteurs cités dans la Grammaire française.

 

 

 

 

TABLE ALPHABÉTIQUE

DES AUTEURS

CITÉS DANS LES QUATRE SECTIONS DE LA

GRAMMAIRE GÉNÉRALE.

 
 

 

 

A.

Addisson (auteur anglais) ; cité tome I, n.os 170, — 493, — 503, — 520, — 614, — 683, — 751, — 798.

Adrien (l’Empereur) ; cité tome I, n.o 347.

Amand (S.) ; cité tome I, n.o 299.

Ambroise (S.) ; cité tome I, n.o 31.

Amyot (traducteur de Plutarque) ; cité tome I, n.os 170, — 547, — 797.

Anonymes (auteurs) ; cités tome I, n.os 258, — 262, — 283, — 292, — 293, — 299, — 303, — 327, — 706, — 756, — 773, — 797, — 799, — 805, — 859, — 868, — 874 ; — tome II, n.os 909, — 941, — 993, — 1115, — 1234.

Anti-Lucrèce (poëme latin du cardinal de Polignac) ; cité tome I, n.os 184, — 311 ; — tome II, n.os 1161, — 1210, — 1308.

|509 Arnaud (Antoine) ; cité tome I, n.os 379, — 884 ; — tome II, n.os 1275, — 1299.

Aubert (l’abbé) ; cité tome I, n.os 307, — 308, — 692 ; — tome II, n.o 973.

Augustin (S.) ; cité tome I, n.os 211, — 258, — 299, — 327, — 624 ; tome II, n.os 1175, — 1203, — 1240, — 1249, — 1294.

Aulu-Gelle (auteur latin) ; cité tome I, n.o 259.

Ausone (poëte latin) ; cité tome I, n.os 299, — 773.

 

B.

Bacon (philosophe anglais) ; cité tome I, n.o 291 ; tome II, n.o 1188.

Baïf (vieux auteur français) ; cité tome I, n.o 816.

Balzac ; cité tome I, n.os 281, — 298.

Batteux (le) ; cité tome I, n.o 773.

Bazile (S.) ; cité tome II, n.o 1256.

Beaumarchais ; cité tome I, n.o 799.

Bernard (S.) ; cité tome I, n.os 299, — 316 ; tome II, n.o 1222.

Bernis (le cardinal de) ; cité tome I, n.o 557 ; tome II, n.os 993, — 1150.

Bertaud ; cité tome I, n.o 327 ; tome II, n.o 998.

|510 Besplas ; cité tome I, n.o 857.

Boileau, voyez Despréaux.

Bonaventure (S.) ; cité tome I, n.o 299.

Borel ; cité tome I, n.o 427.

Bossuet (Jacques-Bénigne) ; cité tome I, n.os 168, — 256, — 291, — 307.

Bossut (l’abbé) ; cité tome I, n.o 799.

Bouhours ; cité tome I, n.o 350.

Brébeuf (traducteur de Lucain) ; cité tome I, n.os 258, — 282, — 285, — 307, — 493, — 605.

Broussonnet (traducteur de Forster) ; cité tome I, n.o 885.

Brumoy ; cité tome II, n.o 897.

Bruyère (la) ; cité tome I, n.os 256, — 284, — 286, — 313, — 314, — 814, — 873, — 874, — 875, — 877 ; tome II, n.o 1298.

Bruzen de la Martinière ; cité tome I, n.o 393.

Buffon (Leclerc, comte de) ; cité tome I, n.os 15, — 52, — 191, — 258, — 870, — 874.

 

 

 

C.

Cat (le) ; cité tome I, n.o 17.

Cailli (le chevalier de) ; cité tome I, n.os 338, — 758.

Catulle (poète latin) ; cité tome I, n.o 327.

|511 Cervantes (Miguel, auteur espagnol) ; cité tome I, n.os 477, — 503, — 771, — 798.

Chaulieu (l’abbé de) ; cité tome I, n.o 255.

Cicéron (Marcus-Tullius, orateur et philosophe) ; cité tome I, n.os 16, — 65, — 67, — 71, — 81, — 133, — 157, — 183, — 184, — 205, — 267, — 280, — 282, — 301, — 313, — 316, — 327, — 356, — 379, — 380, — 382, — 384, — 431, — 446, — 472, — 477, — 537, — 678, — 686, — 757, — 761, — 767, — 768, — 769, — 773, — 777, — 802, — 813, — 831, — 867, — 868, — 883 ; — tome II, n.os 953, — 1256, — 1275, — 1278, — 1298, — 1325, — 1337.

Claudien (poète latin) ; cité tome I, n.os 132, — 163, — 183, — 184, — 245, — 258, — 282, — 294, — 308.

Clément ; cité tome II, n.o 918.

Comnène (Anne) ; cité tome I, n.o 658.

Condillac (l’abbé de) ; cité tome I, n.os 331, — 568 ; tome II, n.os 1175, — 1184, — 1256, — 1289, — 1296.

Corneille (Pierre) ; cité tome I, n.os 267, — 285, — 291, — 327, — 427, — 605, — 755, — 767, — 773 ; — tome II, n.os 985, — 1036, — 1110, — 1121, — 1136.

Corneille (Thomas) ; cité tome I, n.os 799, — 821.

Crébillon ; cité tome I, n.o 1133.

|512 Crysostôme (S.) ; cité tome II, n.os 1164, — 1264.

Cyprien (S.) ; cité tome I, n.o 456.

 

 

 

D.

D’Alembert (le Rond) ; cité tome I, n.o 632 ; — tome II, n.o 886.

Décade philosophique (la) ; citée tome I, n.o 799.

Delile (l’abbé) ; cité tome I, n.os 54, — 59, — 290, — 470, — 484, — 771 ; tome II, n.os 1122, — 1127.

Démétrius de Phalère (auteur grec) ; cité tome I, n.o 285.

Denis d’Halicarnasse (auteur grec) ; cité tome I, n.os 254, — 258.

Descartes ; cité tome I, n.o 172.

Desfontaines (l’abbé) ; cité tome I, n.o 833.

Deshoulières (Madame) ; citée tome I, n.os 133, — 141, — 169, — 187, — 190, — 486, — 799.

Desportes ; cité tome I, n.o 823.

Despreaux (Giles, Boileau) ; cité tome I, n.os 133, — 254, — 255, — 262, — 266, — 267, — 268, — 274, — 279, — 290, — 291, — 299, — 300, — 307, — 308, — 311, — 392, — 427, — 434, — 675, — 716, — 758, — 799, — 801, — 804, — 871 ; — tome II, n.os 901, — 914, — 941, — 983, — 999, — 1001, — 1092, — 1120, — 1130, — 1132, — 1133, — 1140, — 1233.

|513 Destouches ; cité tome I, n.o 802.

Diderot ; cité tome I, n.o 862.

Donat ; cité tome I, n.os 751, — 757.

Dubartas ; cité tome I, n.os 49, — 772, — 816.

Ducange ; cité tome I, n.o 336.

Dumarsais ; cité tome I, n.os 249, — 314 ; — tome II, n.o 1213.

 

 

 

E.

Encyclopédie (l’) ; citée tome I, n.o 581.

Ennius (vieux poëte latin) ; cité tome I, n.o 10.

Epée (l’abbé de l’) ; cité tome I, n.o 220.

Evremond (S.) ; cité tome II, n.o 1155.

 

 

 

F.

Fayette (Madame de la) ; citée tome I, n.o 169.

Fénélon ; cité tome I, n.os 770, — 817, — 871 ; — tome II, n.o 1249.

Fléchier ; cité tome I, n.os 770, — 791.

Fleuri ; cité tome I, n.o 799 ; — tome II, n.o 1218.

Fontaine (la) ; voyez Lafontaine.

Fontenelle ; cité tome I, n.os 43, — 328 ; — tome II, n.o 1248.

|514 Forster (voyageur anglais) ; cité tome I, n.o 885.

Fosse (la) ; cité tome I, n.o 878.

 

 

 

G.

Gamaches ; cité tome I, n.o 737.

Gassendi ; cité tome I, n.o 172.

Gessée ; cité tome I, n.o 245.

Gilbert ; cité tome I, n.o 246.

Girard (l’abbé) ; cité tome I, n.o 314, — 315, — 591[,] — 821, — 856.

Gournai (M.lle de) ; citée tome I, n.o 350.

Grange (la) ; cité tome I, n.os 872, — 883.

Gresset ; cité tome I, n.os 246, — 258, — 260, — 294 ; — tome II, n.o 1156.

Guerini (auteur italien) ; cité tome I, n.os 477, — 503, — 751, — 765.

Guidubaldo de Bonarelli (poëte italien) ; cité tome I, n.o 311.

 

 

 

H.

Henault (Jean) ; cité tome I, n.o 161 ; — tome II, n.os 994, — 1308.

Hérodote (auteur grec) ; cité tome I, n.o 327.

|515 Hilaire (S.) ; cité tome I, n.o 16.

Horace ; cité tome I, n.os 1, — 59, — 110, — 152, — 161, — 163, — 167, — 168, — 183, — 187, — 192, — 198, — 252, — 255, — 258, — 260, — 262, — 270, — 289, — 293, — 301, — 328, — 340, — 379, — 407, — 439, — 470, — 546, — 547, — 559, — 695, — 697, — 738, — 762, — 775, — 796, — 799, — 801, — 807, — 813, — 823, — 832, — 834 ; — tome II, n.os 910, — 957, — 987, — 1075, — 1218, — 1304.

Huet ; cité tome I, n.o 803.

 

 

 

I.

Imbert ; cité tome II, n.os 1126, — 1150, — 1159.

Isidore (de Séville) ; cité tome I, n.os 611, — 840, — 852.

 

 

 

J.

Jérôme (S.) ; cité tome I, n.os 279, — 837.

Juvenal ; cité tome I, n.os 184, — 202, — 258, — 300, — 308, — 322, — 378, — 675.

 

 

 

L.

La Bruyère ; voyez Bruyère.

La Condamine ; cité tome II, n.o 1175.

Lactance ; cité tome I, n.o 24.

Lafontaine ; cité tome I, n.os 1, — 164, — 169, — 245, — 283, — 307, — 390, — 395, — 427, — 444, |516 — 477, — 482, — 487, — 556, — 557, — 692, — 723, — 751, — 755, — 797, — 799, — 823, — 879 ; tome II, n.os 909, — 937, — 940, — 943, — 949, — 951, — 952, — 953, — 958, — 960, — 961, — 969, — 972, — 973, — 976, — 980, — 983, — 985, — 988, — 993, — 1004, — 1006, — 1012, — 1016, — 1019, — 1020, — 1024, — 1026, — 1031, — 1033, — 1037, — 1063, — 1077, — 1081, — 1083, — 1084, — 1085, — 1100, — 1105, — 1120, — 1121, — 1124, — 1131, — 1136, — 1140, — 1146, — 1147, — 1150, — 1152, — 1155, — 1159, — 1203, — 1329.

La Fosse ; voyez Fosse.

La Grange ; voyez Grange.

Lanoue ; cité tome I, n.o 350.

Le Cat ; voyez Cat.

Loke (philosophe anglais) ; cité tome I, n.os 35, — 331 ; tome II, n.o 1175.

Lucain (poëte latin) ; cité tome I, n.os 163, — 282, — 285, — 307, — 308, — 493, — 605.

Lucrèce (poëte latin) ; cité tome I, n.os 63, — 104, — 164, — 184, — 248, — 346, — 823.

 

 

 

M.

Malherbe ; cité tome I, n.os 252, — 258, — 281, — 716, — 823 ; tome II, n.o 1001.

Mallebranche ; cité tome I, n.o 193 ; tome II, n.o 1221.

|517 Mallet ; cité tome I, n.o 773.

Marmontel ; cité tome I, n.os 160, — 169, — 193, — 824.

Marthe ; voyez Sainte-Marthe.

Martial (poëte latin) ; cité tome I, n.os 277, — 292, — 327, — 434, — 768, — 868.

Massillon ; cité tome I, n.os 768, — 772.

Maynard ; cité tome I, n.o 802 ; tome II, n.o 1124.

Méhun ; cité tome I, n.o 427.

Mellinet ; cité tome I, n.o 799.

Métastase (poëte italien) ; cité tome I, n.os 395, — 427, — 477, — 503, — 765, — 798, — 874.

Molière (Jean-Baptiste Pocquelin de) ; cité tome I, n.os 252, — 258, — 327, — 675, — 758, — 765, — 766, — 774, — 801 ; tome II, n.os 952, — 973, — 1121, — 1138, — 1155.

Monnoye (la) ; cité tome I, n.o 262.

Montagne (Michel de) ; cité tome I, n.os 57, — 62, — 136, — 168, — 180, — 187, — 190, — 198, — 290, — 456, — 457, — 704 ; tome II, n.os 928, — 940, — 1304.

 

 

 

N.

Nicot ; cité tome I, n.o 427.

Nivernois (le duc de) ; cité tome I, n.os 169, — 868.

 

|518

 

O.

Ovide (poëte latin) ; cité tome I, n.os 191, — 214, — 260, — 262, — 264, — 279, — 477, — 488, — 628, — 769, — 773 ; tome II, n.o 948.

 

 

 

P.

Panard ; cité tome I, n.o 805 ; tome II, n.os 909, — 1126, — 1154.

Pasquier ; cité tome I, n.o 258.

Patru ; cité tome I, n.o 750.

Pavillon ; cité tome II, n.os 909, — 1111.

Perse ; cité tome I, n.os 24, — 29, — 183, — 195, — 806.

Phèdre ; cité tome I, n.os 187, — 694.

Plaute ; cité tome I, n.os 262, — 472, — 761.

Pline ; cité tome I, n.os 258, — 829 ; tome II, n.o 1314.

Pluche ; cité tome I, n.o 775 ; tome II, n.o 1264.

Plutarque ; cité tome I, n.os 170, — 547, — 797. — Voyez Amyot.

Polignac (le cardinal de) ; voyez Anti Lucrèce.

Pope ; cité tome I, n.o 29.

Portiez ; cité tome I, n.o 799.

Priscien ; cité tome I, n.o 594.

Properce ; cité tome I, n.o 279.

 

|519

 

Q.

Quinault ; cité tome I, n.os 267, — 513.

Quinte-Curce ; cité tome I, n.o 868.

Quintilien ; cité tome I, n.os 48, — 69, — 208, — 226, — 227, — 228, — 233, — 239, — 244, — 255, — 261, — 269, — 280, — 287, — 289, — 291, — 297, — 298, — 300, — 301, — 485, — 603, — 607, — 608, — 629, — 691, — 742, — 747, — 760, — 762, — 765, — 766, — 772, — 799, — 802, — 822 ; tome II, n.os 835, — 935, — 974, — 1163, — 1319.

 

 

 

R.

Racan ; cité tome I, n.os 245, — 272.

Racine (Jean) ; cité tome I, n.os 268, — 290, — 292, — 311, — 395, — 465, — 513, — 675, — 755, — 770, — 799, — 817, — 862, — 872, — 882, — 883 ; tome II, n.os 952, — 973, — 1110, — 1115, — 1120, 1129, — 1133, — 1136, — 1140.

Racine (Louis) ; cité tome I, n.os 48, — 183, — 311, — 799, — 883 ; tome II, n.o 1001.

Regnier ; cité tome II, n.o 997.

Robertson (historien anglais) ; cité tome I, n.os 335, — 520, — 798.

Rochefoucault (le duc de) ; cité tome I, n.os 862, — 868, — 876.

|520 Rollin ; cité tome I, n.o 253.

Ronsard ; cité tome I, n.os 350, — 816.

Roubaud ; cité tome I, n.os 316, — 317, — 318, — 319, — 320.

Rousseau (Jean-Baptiste) ; cité tome I, n.os 140, — 145, — 248, 255, — 258, — 266, — 270, — 279, — 291, — 308, — 427, — 675, — 716, — 748, — 804, — 830, — 834, — 882 ; tome II, n.os 1035, — 1120.

Rousseau (Jean-Jacques) ; cité tome I, n.o 183 ; tome II, n.o 1146.

Roy ; cité tome I, n.o 484.

 

 

 

S.

Saint-Amand ; voyez Amand.

Saint-Evremond ; voyez Evremond.

Sainte-Marthe ; cité tome I, n.o 802.

Salluste ; cité tome I, n.o 813.

Salvien ; cité tome II, n.o 943.

Sanctius ; cité tome I, n.os 379, — 422.

Sarrasin ; cité tome I, n.os 282, — 308, — 706.

Scaron ; cité tome I, n.os 262, — 880.

Segrais ; cité tome I, n.o 308 ; — tome II, n.o 1025.

|521 Senèque ; cité tome I, n.os 15, — 43, — 160, — 183, — 185, — 258, — 765, — 874 ; — tome II, n.o 1287.

Sévigné (M.me de) ; citée tome I, n.os 252, — 310.

Sicard (l’abbé) ; cité tome I, n.o 220.

Sidoine-Apollinaire ; cité tome I, n.o 258.

Sotades ; cité tome I, n.o 882.

Spectateur anglais (le) ; voyez Addisson.

Stace ; cité tome I, n.os 274, — 308.

Sylleri (M.me de) ; citée tome I, n.o 132.

 

 

 

T.

Tacite ; cité tome I, n.os 813, — 816.

Tasso (Torquato), le Tasse ; cité tome I, n.os 350, — 503, — 769, — 772.

Térence ; cité tome I, n.os 262, — 379, — 472, — 486, — 575, — 676, — 757, — 759, — 761, — 765, — 805, — 813.

Théophile ; cité tome I, n.os 258, — 291.

Thomas ; cité tome I, n.o 193 ; — tome II, n.o 1222.

Tite-Live ; cité tome I, n.os 278, — 775, — 813.

Tourreil ; cité tome I, n.o 258.

Trenck (le baron de) ; cité tome I, n.o 799.

Tullius (Marcus) ; voyez Cicéron.

 

|522

 

V.

Vanière ; cité tome I, n.o 513.

Varron ; cité tome I, n.o 316.

Vaugelas ; cité tome I, n.os 257, — 619, — 737, — 792, — 823.

Velleius-Paterculus ; cité tome I, n.o 773.

Vida (Jérôme) ; cité tome I, n.os 254, — 294, — 310, — 445, — 651, — 724, — 802 ; — tome II, n.o 1315.

Virgile ; cité tome I, n.os 211, — 214, — 262, — 264, — 268, — 270, — 274, — 278, — 280, — 282, — 290, — 292, — 308, — 311, — 379, — 387, — 395, — 556, — 575, — 614, — 639, — 697, — 759, — 761, — 765, — 770, — 771, — 773, — 813, — 859 ; — tome II, n.os 882, — 1143, — 1158.

Voltaire ; cité tome I, n.os 60, — 199, — 270, — 286, — 290, — 298, — 308, — 395, — 396, — 675, — 758, — 767, — 777, — 791, — 868 ; — tome II, n.os 909, — 1031, — 1037, — 1105, — 1124.

 

|523

 

 

CHANGEMENS ET FAUTES A CORRIGER

DANS LES TEXTES ET DANS LES NOTES.

 
 

 

 

Pages

17, lig. 7 ; qui est modifiée, lisez : qui en est modifiée.

86, lig. 1 ; perfectionnées, lisez : personnifiées.

99, lig. 22 ; l’étendue de la, lisez : l’étendue de sa.

100, lig. 22 ; sition de, supprimez : de.

137, lig. 11 ; aptare, lisez : optare.

138, lig. 4 ; résoudre, lisez : répondre.... ; lig. 20, de doute, lisez : du doute.

142, lig, 1 ; et expriment, lisez : et exprimant.

184, lig. 17 ; conjuguer, lisez : conjuguez.

209, lig. 5 ; je désirerais, lisez : je désirerai.

224, lig. 17 ; prend le, lisez : précède le.

235, lig. 22 ; chaque sens, lisez : chaque sans.

237, lig. 4 ; infortuné ! lisez : infortunés !

240, lig. 3 ; d’un caster, lisez : d’un castor.

257, lig. 18 ; et de hauts, lisez : et des hauts.... ; lig. 21, et des petits, lisez : et de petits.

277, lig. 9 ; imaginera, lisez : imagina.

317, lig. 4 ; pravus, lisez : pravum.

343, lig. 22 ; n.o 1231, lisez : n.o 1234.

362, lig. 2 ; qui ne puissent, lisez : qui ne puisse.

394, lig. 5 ; hæc sum, lisez : hoc sum.

404, lig. 10 ; infelicias, lisez : infelicius.

408, lig. 13 ; convaincu, lisez : convaincus.

415, lig. 2 ; de les, lisez : de le.

447, lig. 6 et 8 ; de la contraction, lisez : de l’attraction.

 

 

 
 
 

 

Livre conservé à la Bibliothèque Nationale, Paris, Cote : X-11247